CRISTIANO RONALDO DÉPÊCHE LES AVIONS POUR LES INCENDIES DE L’AMAZONIE
Les feux sont entrain de ravager depuis bientôt un mois la forêt de l’Amazonie. La colère monte dans les réseaux sociaux contre l’inaction du monde politique pour stopper les incendies qui ravagent la forêt amazonienne.
Très sensible aux causes écologiques, la star portugaise de la Juventus de Turin a réagi face à cette tragédie. « La forêt tropicale produit plus de 20% de l’oxygène mondial et cela fait 3 semaines qu’elle brûle. C’est notre responsabilité de sauver notre planète. #Prayforamazonia » a publié le quintuple ballon d’or sur Twitter, le 22 août 2019.
Les images publiées par le sportif le plus généreux de la planète ont déclenché une vague de réaction. Ronaldo a marqué une fois la différence .« C’est notre responsabilité d’aider à sauver notre planète » a écrit Cristiano Ronaldo.
CR7 aurait ainsi décidé de financer 3 avions capables de transporter 80 000 litres d’eau pour maîtriser l’incendie qui ravage la forêt amazonienne.
Des manifestations ont eu lieu pour l’Amazonie vendredi, à Sao Paulo et Rio. Le mouvement « Fridays for Future », fondée par la jeune militante Suédoise Greta Thunberg, a appelé à manifester devant les ambassades et consulats du Brésil à travers le monde.
« En ce moment même, des incendies – qui se propagent très rapidement – sont en train de détruire la forêt amazonienne à un rythme alarmant. Notre maison est littéralement en train de brûler et les poumons de notre planète de se transformer en cendres », a écrit le mouvement dans un communiqué.
Si l’avancée des feux dans la plus vaste forêt tropicale de la planète était très difficile à évaluer, l’Institut national de recherche spatiale (INPE) a fait état de près de 2 500 nouveaux départs de feu en l’espace de 48 heures dans l’ensemble du Brésil. La déforestation, qui avance rapidement, est la principale cause des départs de feu.
D’après l’INPE, 75 336 feux de forêt ont été enregistrés dans le pays de janvier jusqu’au 21 août – soit 84 % de plus que sur la même période de l’an dernier – et plus de 52 % concernent l’Amazonie.