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MIRACLE: ALI BONGO ET SA PETITE SOEUR DIRECTE SONT NÉS AVEC UN ÉCART DE TROIS MOIS

Le débat sur les origines douteuses du président Ali Bongo, dont la maman déclare être né à Brazzaville au Congo, recommence. Après les faux actes de naissance délivrés à Nantes et les révélations du livre d’un  journaliste français Pierre Péan attribuant les origines biafraises ( une region  du Nigéria) au chef d’État gabonais, c’est le journal Échos du Nord qui révèle que la petite soeur directe issue du même utérus    qu’Ali Bongo, a vu le jour seulement 115 jours  après la naissance de son grand frère par césarienne. Nous vous proposons deux articles y relatifs:

« L’affaire défraie à nouveau la chronique de l’épineux dossier de la filiation controversée d’Ali Bongo, le président actuel du Gabon depuis 2009. Une photographie publiée lundi dans l’intrépide hebdomadaire Echos du Nord, révèle l’acte de naissance de la petite sœur d’Ali Bongo, Okonkwo Annick Ngozi née à 115 jours d’intervalle, soit tenez-vous bien, 3 mois et 23 jours !

La photographie de l’acte de naissance d’Okonkwo Annick Ngozi certifié conforme par les autorités gabonaises. Cette preuve a été divulguée par Pierre Péan sous le coup d’une poursuite judiciaire en France après la parution de son brûlot qui mettait en cause la filiation d’Ali Bongo comme provenant du Biafra, une région orientale dissidente du Nigéria, à l’origine d’une guerre civile sanglante qui avait contraint à l’exil plusieurs de ses habitants du 6 juillet 1967 au 15 janvier 1970.

Contrairement à Ali Bongo qui serait né à Brazzaville (Congo) le 9 février 1959, sa sœur dont le patronyme est clairement ibo (nigérian), est elle née 4 juin de la même année, cette fois à la maternité de Franceville. Joséphine Kama alias Patience Dabany avait clamé avoir mis au monde son fils aîné par césarienne, une technique chirurgicale visant à extraire un enfant de l’utérus maternel par incision de la paroi utérine. Après une telle intervention, toutes les femmes et leur médecin vous diront qu’il est risqué d’enfanter de nouveau avant plusieurs années soit une moyenne de 3 à 4 ans. Les plaies d’une telle opération lourde, prenant souvent jusqu’à deux ans pour totalement cicatriser.

Mais la mère d’Ali Bongo a défié les lois de la biologie humaine et fait ravaler toutes ces théories scientifiques à leurs auteurs, puisqu’elle mettra au monde 3 mois et 23 jours (retour des couches inclus) la petite sœur d’Ali Bongo. Une version qui donne allègrement du grain à moudre aux détracteurs du président Gabonais lourdement visé par ce scandale familial qui défierait désormais les connaissances scientifiques occidentales en obstétrique. », écrit Info 241.

Alors qu’Ali Bongo criait sur tous les toits qu’il avait porté plainte en France contre le journaliste français qui avait  » sali l’honneur de la famille « , il s’est empressé à fuir les débats de peur d’être soumis à un test ADN , selon le journal français  La lettre du Continent. Voici un commentaire à propos  de Thibaut Adjatys publié  le 28 mars 2018:

« Selon La Lettre du continent, Ali Bongo a perdu pour abandon le procès en France, relatif à des propos de Pierre Péan liés à sa filiation avec Omar Bongo. Deux jours avant cette audience, chose inespérée, Ali Bongo a opté pour un désistement et jette l’éponge, Incompréhensible !
Alors pourquoi avoir fait tout ce tintamarre juste pour distraire les Gabonais sur ses origines douteuses pendant la présidentielle au Gabon ?

En réalité le fils pretendu de son père Omar Bongo ne l’est pas réellement. Ali Bongo a eu peur que la justice française l’oblige à faire un test ADN pour nous prouver le contraire de ce que dit Péan. Ce n’est un secret pour personne, Ali Bongo n’est pas le fils génétique d’Omar Bongo, c’est simplement un usurpateur, s’il l’était pourquoi ne nous le prouve pas avec un simple test ADN pourtant si simple ?

Je suis du Haut Ogooue et je connais cette histoire depuis mon jeune âge, je n’ai pas attendu qu’il soit président pour le savoir et si Ali Bongo est du Haut Ogooue admettons, c’est quoi le nom de son village ?

Quand on a volé un oeuf, on volera un boeuf. Quand on vit de mensonge toute sa vie, on finit toujours par se casser la gueule un jour. La défense du Biafrais était cousue du fil blanc et il n’y a avait et il n’y a que des Gabonais qui croient qu’Ali n’est pas né de père et de mère Biafrais.

La défense balbutiante de “son oncle” Assélé à la télévision pour défendre sa soeur et “son neveu” et les corrections que sa soeur lui apportait en plein plateau, étaient bien des signes que le mensonge était dans l’air.
Nous avons le résultat et le droit a été dit en faveur du journaliste d’investigations Pierre Péan par abandon du Biafrais qui n’avait aucun argument contre son protagoniste.

Tous les Gabonais savent désormais que l’homme aux multiples actes de naissance né semble t-il à Brazzaville par césarienne, n’a pas d’acte de naissance à Nantes. Il n’est donc pas né d’Abert Bernard Bongo et de NKama Josephine qui l’ont adopté. Il ne mérite donc  pas d’être le Président du Gabon en rapport avec notre loi fondamentale « constitution ». Et il n’y a plus débat.

La seule preuve de la nationalité gabonaise du Biafrais Ali Bongo se trouve à Nantes où Pierre Péan a été interdit de consulter le fichier d’État civil de l’AEF. Qui ne sait pas que le Biafrais Ali Bongo nous a fourni au moins 5 actes de naissance qui se sont avéres tous des faux. Celui sorti de Nantes était une fabrication de ses amis français à qui il a vendu le Gabon sans nous en fournir la copie de l’original.

Si Omar Bongo n’a pas pu faire un acte de naissance à Ali Bongo, c’est simplement parce que la loi est très stricte et elle encadre rigoureusement l’adoption des enfants issus de la guerre. En réalité c’est plus compliqué qu’on y croit.

Arrêtons de défendre l’indéfendable. Ali est bien Biafrais point barre. »

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