LE DCC MVONDO AYOLO OFFRE 150 MILLIONS À SON AMANTE ET AUX EXTRÉMISTES
C’est un énième scandale d’Etat. Un scandale qui illustre le pouvoir des extrémistes au sein de l’appareil d’Etat.
Comme l’atteste ce document, un contrat de communication a été validé par le directeur du cabinet civil de la présidence de la République, Samuel MVONDO Ayolo à une mystérieuse de communication appelle “ ENVOL SARL”.
Tenez vous tranquille, ce marché a coûté 150 millions fcfa à l’Etat du Cameroun avec pour objectif de faire la promotion des réalisations de Paul Biya. 70% de ce contrat a été payé.
Derrière cette société se cache un groupe d’activistes Ekang. De gauche à droite, vous avez
Marie Paule Paule, activiste anti Anglo-Bami sur les réseaux sociaux, Michèle Thérèse CONVERS qui est adjointe au maire d’Esse, imposée par son amant Samuel MVONDO Ayolo et Joseph ATEBA Nkou également activiste EKANG, chômeur en France.
Le propriétaire d’ENVOL du moins le gestionnaire sur les papiers Edmond Moukoury petit ami de Marie Paule Paule de son vrai nom Marie Paule Angos Nnanga. Moukoury a traîné au Gabon pendant quelques années et est retourné au Cameroun sans rien faire. C’est ainsi qu’à partir d’internet il rencontre Marie Paule Paule pour construire leur amour et leurs frappes.
Écoutez bien l’entreprise a été ouverte le 1er juillet 2019 par Edmond Moukoury . Numéro d’immatriculation: RC/YAE/2019/B/2779. Moukoury, l’amant de Marie Paule Paule est gérant, PDG, administrateur et associés. L’entreprise dit être localisée à Nlongkak/ Marché Nkoleton.
C’est en réalité Michelle Thérèse CONVERS qui va utiliser sa proximité libidinale avec Samuel MVONDO Ayolo le Directeur du Cabinet Civil, pour obtenir ce contrat de 150 millions fcfa. Lorsque que l’on apprend que Marie Paule Paule est en fait l’ex-employée de maison et cuisinière de Michelle CONVERS, tout le puzzle se met en place. Plus grave, des sources crédibles révèlent que le fameux EYOUM joue à temps partiel le rôle de prête-nom de MVONDO Ayolo.
Voilà une preuve de plus que la haine tribale à laquelle nous assistons est financée depuis le palais présidentiel.
Ainsi va la République.
BORIS BERTOLT