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RÉPONSE À LA  » RACAILLE  » JEAN GATSI QUI SOUHAITE LA MORT DE KAMTO

Émile-Auguste Chartier, philosophe, journaliste et essayiste français, plus connu sous le pseudonyme d’Alain, soutenait en son temps que savoir qu’on sait, c’est savoir.
De quoi contenter tous ceux qui ont usé leurs fonds de culotte sur les bancs et acquis d’immenses connaissances dans les universités, considérées à juste titre comme des temples du savoir.

Mais, lorsqu’on passe au crible de la critique les discours, les comportements, les faits et gestes de certains prétendus intellectuels camerounais qui peuplent nos universités, la tentation est grande de se poser la question suivante: les universités du pays confisqué depuis 40 ans par Paul <<Pillard>> sont-elles encore des lieux par excellence où l’on acquiert le savoir?
Y répondre stricto sensu par l’affirmative serait briller par une méconnaissance impardonnable de la société camerounaise et un manque criard de savoir.

En ce début d’année comme à chaque début d’année où le rituel commande de présenter ses vœux les meilleurs à tous ceux qu’on connaît, y compris à ses pires ennemis, il y en a un, Jean Gatsi notamment, soi-disant Professeur agrégé d’université, qui souhaite au Professeur Maurice Kamto et à tous tous ceux qui critiquent la philosophie politique du dictateur Paul Biya, tous les pires malheurs.
Le discours de cet enseignant de pacotille, uniquement teinté de méchanceté, de cruauté, de jalousie et de monstruosité, publié toute honte bue sur les réseaux sociaux, est tenu à la male heure.

Contre le Professeur Maurice Kamto, contre les intrépides membres de la Brigade Anti-Sardinards (BAS) et contre tous ceux qui s’opposent à la dictature au Cameroun, cet enseignant farfelu et au rabais, tient des propos empreints de malédiction. Sans faux-fuyant, il les charge d’imprécations.
À se demander si sa propre épouse et leurs enfants (au cas où il en aurait), pourraient le lire avec fierté et délectation.

Jean Gatsi ( je ne te ferai pas l’honneur de te vouvoyer), sache que tu viens de chier dans la colle.
Et tu mérites de la nation tout entière une vraie colle.

Tu n’es qu’une boîte à bêtises.
Et tout ce qui sort de ta bouche n’est qu’absolue bêtise.

Avec toi, chaque nouveau jour est une nouvelle occasion des pires bêtises.
En souhaitant le décès en cette année 2021 du Professeur Maurice Kamto et de tous qui qui remettent sur le métier les ouvrages fictifs des 40 ans de règne monarchique de Paul le pillard, tu as commis une impardonnable offense.
Crois-moi, tu ne mérites pour cela aucune défense.

Les pâles intellectuels de ton acabit sont prêts à tout pour obtenir quelques prébendes ou de minables strapontins.
Jean Gatsi, tu n’es en réalité rien d’autre qu’un obscur pantin.

Tu penses plaire au régime assassin du Cameroun en maudissant le Professeur Maurice Kamto, l’homme qui, incontestablement, est le Camerounais le plus adulé de ces 50 dernières années. Drôle de façon de courir après la célébrité.
Pour ta gouverne, pauvre enseignant sans consistance ni relief, retiens une fois pour toutes que la haine gratuite des personnes brillantes comme le Professeur Maurice Kamto a toujours été la meilleure façon de combler sa vacuité.

Oui, Jean Gatsi ( remarque fort bien que je ne saurais t’appeler Professeur étant donné que tu ne mérites pas ce titre), ta bêtise est sans borne.
Quand devrais-tu apprendre qu’un intellectuel digne de ce nom devrait s’imposer des normes et de vraies bornes.

Croyant écorner l’image du célébrissime Professeur Maurice Kamto et celle de tous ses alliés proches ou lointains, tu as fait des crachats en l’air. Voilà subitement le vaillant peuple combattant obligé de te chanter pouilles.
Figures-toi que tu n’as plus que les allures d’une dépouille.

En dessinant inlassablement le diable sur le mur du président élu du Cameroun, le Professeur Maurice Kamto, tu donnes toutes les preuves mathématiques que tu n’es qu’une vraie nouille.
Comme c’est abracadabrant de voir un homme qui revendique le titre de Professeur agrégé manquer à ce point de couilles. En somme, une incroyable fripouille.

Au final, Jean Gatsi, tu as toutes les allures d’un ours mal léché.
Et il est incontestable que ton intelligence s’est complètement asséchée.

Jean Gatsi, vouloir détruire ton maître, le Professeur Maurice Kamto est pour toi une belle aventure.
Rassures-t’en, cette aventure s’achèvera bientôt par une mésaventure.

Le faisant, Jean Gatsi, tu déshabilles Paul pour habiller Jean.
Et tu peines même à réaliser que tu utilises maladroitement contre toi toutes les herbes de la Saint -Jean.

Ton sport intellectuel favori consiste à casser le sucre sur le dos du Professeur Maurice Kamto.
Tout cela prouve, s’il en était encore besoin, que tu n’es rien d’autre qu’un outrancier mytho.

Facile d’en déduire que tu es dans nos universités comme un éléphant dans un magasin de porcelaine.
Au plan intellectuel, Jean Gatsi, tu dégages et pues uniquement la mauvaise haleine.

Tu crois maudire le Professeur Maurice Kamto et tous ses millions de ses partisans en agissant comme la verole sur le bas clergé espagnol.
Tu le fais, hélas, dans un langage stupide et puéril, et surtout dans un français propre à une auberge espagnole.

Le jeu en avait-il vraiment la chandelle?
Tu as oublié qu’en 2008, alors que tes diplômes d’origine douteuse étaient encore méconnus du système universitaire camerounais, tu jetais l’anathème sur Paul Biya et les membres de son régime, les considérant comme les pires êtres humains au monde. Quel gâchis! Cela s’appelle brûler par les deux bouts de la chandelle.

T’appeler Professeur serait donner de la confiture à un cochon.
Pour nos universités à la recherche de leurs véritables marques et repères, tu ne devrais être qu’un simple torchon.

En tous points de vue, tu n’es qu’un cochon intellectuel qui s’en dédit.
Tiens-le bien pour dit.

Ton discours manque cruellement de soin.
Plutôt que de t’écouter ou de te lire, il vaut mieux chercher une aiguille dans une botte de foin.

Avec de pseudos intellectuels de ta trempe au Cameroun, on ne peut que courir sur le haricot.
À ce train, ce sera bientôt dans notre pays la fin des haricots.

Jean Gatsi, enseignant en quête de pitance et illustre membre de la racaille intellectuelle camerounaise, je réitère que tu viens de chier dans la colle.
Et ta note ne peut qu’être une sacrée colle.

Jean Gatsi, cet intellectuel de bas étage qui racole.
Quelle honte! Quel sacrilège ! Quelle tristesse! Vivement que pour une fois, tu décolles !

CYRILLE KEMMEGNE
JOURNALISTE, ÉCRIVAIN ET PHILOSOPHE.
PRÉSIDENT DU PETIT PARTI DES ÉCRIVAINS CAMEROUNAIS.

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