LIONEL MESSI LOUE SON JET AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Lionel Messi fait les affaires avec l’Etat argentin. En effet, le capitaine du FC Barcelone dont le salaire, les primes et les contrats publicitaires, sont mirobolants, s’est offert un jet privé dont il ne se sert presque jamais. Et le président argentin qui est également son fan, préfère louer l’avion de la Pulga pour ses déplacements à l’étranger.
À en croire plusieurs médias argentins, le président Alberto Fernandez s’est rendu lundi en voyage officiel au Mexique, et plus précisément Mexico- qui est situé à quelques 8000 kilomètres de Buenos aires- dans le jet privé de Lionel Messi. L’État aurait déboursé 160 000 dollars pour ce voyage avec l’appareil de la Pulga, soit plus de 85 millions de FCFA.
L’avion en question, un Gulfstream V de 2004, a été acheté par Messi en 2018 pour une somme avoisinant les 15 millions de dollars, soit plus de 8 milliards de nos francs. D’après Olé, le jet est équipé de 16 sièges convertibles en lits, d’une cuisine, et de deux salles de bain. Long de 29 mètres et équipé de moteurs Rolls Royce, il peut parcourir 940 km/ h.
L’appareil est habituellement reconnaissable pour avoir un énorme numéro 10 floqué sur la dérive, mais cette personnalisation serait retirée lorsque Messi n’est pas le passager. Mais, son nom reste gravé et visible sur le gouvernail de l’appareil qui peut atteindre une vitesse de croisière de 10 000 km/ h. Tous les noms des membres de la famille sont gravés sur les marches de l’avion. Leo Messi, Antonella Roccuzzo et leurs trois enfants Thiago, Ciro et Mateo ont pu trouver leur prénom dans les escaliers:
Le président Alberto Fernández avait déjà loué le jet de Lionel Messi pour un voyage au-dessus de la cordillère des Andes à la rencontre du président chilien, rappelle Infobae. Ses collaborateurs en revanche, entre lesquels se trouve le ministre de l’Économie Martín Guzmán mis en cause dans le scandale des vaccins VIP , n’ont pas pu profiter de cette chance. Pour rejoindre le sommet organisé à Mexico, ils ont dû se contenter d’un simple vol commercial fourni par Aeromexico, la compagnie aérienne nationale du Mexique.
