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LE MÉDECIN DE SASSOU NGUESSO RECHERCHÉ EN FRANCE POUR AVOIR TUÉ L’OPPOSANT KOLÉLAS DANS L’AVION

Un vieux que je considère  jeune m’a dit un jour :  » Mon Petit tout homme doit mourir un jour mais toutes les morts n’ont pas la même signification ». Franklin BOUKAKA.
Jeunesse de mon pays, je m’adresse plus singulièrement à toi. Si tu veux prendre ton destin en main : c’est maintenant ou jamais !

Peuple de mon beau pays : levons-nous car le temps n’a plus besoin de vous faire un dessin et vous démontrer que la situation  est grave.

LE TESTAMENT POST-MORTEL DE GUY BRICE PARFAIT KOLÉLAS.

« Mes chers compatriotes, je suis en difficulté.
Je me bats contre la mort.
Mais cependant,  je vous demande de vous lever.
Allez-y voter pour le changement!
Je ne me serais pas battu pour rien.
Battez-vous comme un seul homme ! Levez-vous !
Je ne me serais pas battu pour rien.
Faites-moi plaisir. Je me bats sur le lit de mort.
Vous aussi battez-vous pour le changement.
Allez-y !
Il va de l’avenir de vos enfants.
Battez-vous merci ! »

TOUT AVAIT ÉTÉ ÉCRIT ; PRÉMÉDITE DEPUIS DE LONGUES DATES.

Firmin Ayessa :  » Si un enfant joue avec le feu, laisse-le continuer. On l’interdit de continuer, lui ; cependant n’arrête pas. Il continue à s’amuser avec le feu. Que faire à ce moment là ? Il faut le laisser continuer. Il faut le laisser faire. Il faut le laisser.
Je sais de quoi je parle. Quand on lui dit , supplie, insiste de laisser et qu’il ne comprenne rien. Laissez-le faire. Laisser-le continuer. »

Regardant la foule excitée à bloc d’où il attend une réponse, il poursuit: « Que va arriver à cet enfant ? Que va-t-il lui arriver ? « .  » Il va se brûler », répond la foule en chœur la foule.

« Maman l’empêche, papa l’empêche mais il continue à faire à sa tète. Laissons-le faire ; laissons- le continuer. D’autres enfants effrontés devant leur père qui leur a tout donné, devant la maman qui a tout fait ; tout appris ; mais ils se sentent déjà affranchis, libérés de toutes contraintes. Alors ceux-là il faut les laisser : ils vont boire l’eau goûte par goûte », conclut Firmin Ayessa.

SASSOU NGUESSO COMME POUR L’ASSASSINAT DU PRÉSIDENT MARIEN : NGOUABI ; IL AVAIT TOUT PRÉVU.

Comme en 1978, quand après avoir assassiné le Président Marien Ngouabi, Sassou Nguesso  va commencer à faire ses scellés. Il désigne déjà les juges. Les bureaux étaient déjà mis en place. Les Agents de la PJ et de l’armée qui iront recueillir chez eux les prévenus qui sont déjà désignés d’office : les Kongos : Capitaine Kimbouala Nkaya, Cardinal Émile Biayenda, Kolélas Bernard, Commandant Mouzabakani, Mountsaka, Massamba-Débat, Ouamba : des gens qui n’avaient rien à voir dans l’assassinat.

Avec cet énième crime, il a remis la même recette qu’il y avait utilisée il y a 44 ans. Comme quoi, on ne change pas la proposition qui a fait recette.

Ainsi il a appelé ce juriste à qui il a posé la question de savoir :  » si un candidat meurt pendant le déroulement de l’élection que peut-il arriver ? Peut -on l’ annuler ou continuer le déroulement ? »

Les journalistes de la Télévision congolaise ont posé la même question à Bouka, président de je ne sais quoi: « Qu’adviendrait-il si un des candidats arrivait à  mourir en pleine élection ? » Il botte en touche.

Il ne faut pas qu’il meurt lors du déroulement de l’élection sinon c’est annulée.

Voilà pourquoi vous vous rendrez compte que l’avion médicalisé qui était parti chercher Pako était arrivé à 1h du matin. Il ne fallait pas qu’il meure à cet instant là sinon, la loi notamment le fameux article 70 ne jouerait pas. Ils avaient attendu que le fruit soit bien mûr. Que Pako agonise abondamment.

Ils ont attendu, attendu toute la journée, jusque quand ils se sont aperçus que c’était bon. Que le fruit était bien mûr; comme une femme qui va accoucher : qu’elle est à terme et qu’elle va bientôt accoucher.

Alors on va faire décoler l’avion. Madame qui a accompagné son mari nous a bien affirmé que quand ils ont décolé de Brazzaville, Pako était encore vivant.

Mais curieusement , c’est à l’arrivée que le médecin congolais proche du Pct qui a accompagné le malade fils du Pool, va annoncer à madame  que son mari est mort.
Et comme ça la boucle est bouclée.

Un exemple : vous avez un malade à la maison ou votre épouse qui est sur le point d’accoucher. Vous appelez une ambulance. Elle arrive chez vous. Au lieu de prendre tout de suite le ou la malade, le pompier ou l’ambulancier vous dit qu’il est fatigué ou le moteur est fatigué. Et il lui faut observer toute une journée de pause. Et la malade est là, souffrante. Et toute une journée entière passe, et c’est  après que l’ambulancier décide enfin de prendre la malade et de démarrer.

Entre l’heure d’arrivée où l’avion dépêché pour aller prendre le malade et l’heure de décollage pour ramener le malade, il s’était écoulé presque toute une journée.

Pourquoi et qu’attendait cet avion parti pour aller sauver un malade ? Pourquoi n’avait-il pas décollé après avoir constaté que le malade nécessitait des soins rapides et appropriés ?

Imaginez-vous les conséquences et la responsabilité pénale de l’équipage ?

Le plan est exécuté comme il se doit. Et quand c’est comme ça, Sassou a toujours utilisé un parent, un ressortissant de la région pour se partager les responsabilités d’où l’implication de ce médecin du Pool. Car, Sassou a toujours horreur d’assumer seul les responsabilités.

Nous recherchons ce médecin qui ne doit pas déjà quitter la France. Il a des comptes à nous rendre. Savoir ce qui s’est passé dans l’avion.

Et comme ils l’ont prétendu et prétexté que Pako était atteint de covid ; pourquoi sa femme qui a accompagné le mari mourant n’est-elle pas atteinte et on l’a laissée rentrer chez elle sans aucune mesure précautionneuse?

DE QUI SE MOQUE T-ON ?

Comme vous pouvez le voir, Sassou avait tout préparé. La triche à laquelle il avait choisie de recourir, a commencée.

On nous annonce que Sassou est premier, premier partout.

C’est le contraire qui nous aurait étonné. Et ne peuvent croire à cés immondices que ses partisans qui ont choisi de l’accompagner jusque dans sa dernière demeure.

Qui l’aurait cru, qui peut le croire au Congo si ce ne sont ses partisans ?

QUE RESTE T-IL DEVANT CET AFFRONT, CE PIED DE NEZ, CETTE ÉNIÈME PROVOCATION ?

Soyons prêts pour lui répondre patriotiquement et républicainement car trop, c’est quand même TROP ! Soyons prêts pour braver toute tempête ; toute bourrasque.

Si nous ne pouvons pas pour notre pays ; pour l’avenir de nos enfants ; alors reconnaissons que nous avions été sur terre pour rien !

J’ai parlé !

A Paris le 23 mars 2021.
Maître Tony Gilbert Moudilou.

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