DU POISON INOCULÉ AUX ALIMENTS VENDUS AUX MARCHÉS CAMEROUNAIS
Il y a un pire poison que j’ai dénoncé dans deux articles il y a plusieurs années : le perfol, un produit très dangereux qu’utilisent 90 % des Femmes qui vendent le plantain dans nos marchés, pour le faire jaunir en une journée, puisque le plantain se vend plus cher et plus rapidement lorsqu’il est jaune.
C’est la même pratique sur les ananas, les oranges.
Vous achetez le plantain, le croyant naturellement jaune, et lorsque vous le faites cuir, il est tout blanc, et pis encore, le produit innoculé ne lui permet pas de cuire.
Pour les frites, ce plantain brûle seulement, mais reste » incuit » ( non cuit ) à l’intérieur.
A mon humble avis, les Camerounais sont même plus sataniques que les étrangers. Si vous voyez ce que les Camerounais vendent à leurs frères, vous comprendrez pourquoi un homme tue sa femme en route, sa petite amie, et les Camerounais filment, s’en foutent, filment les accidentés au lieu de les secourir: ils n’ont aucun sentiment de dignité pour la vie humaine ; seul l’argent compte pour les Camerounais. Cela peut paraître anodin, mais les grandes révélations d’une chose se trouvent dans des petits détails, des choses anodines et apparemment négligeables. Tous ceux qui sont initiés aux enquêtes criminelles, connaissent bien l’importance capitale des choses anodines et négligeables par rapport à un crime.
Je n’ai rien à dire sur le poulet congelé brésilien. Les Camerounais vendent de plus mauvaises choses à leurs compatriotes, et à prix d’or.
Je ne vous raconterai pas l’histoire d’un journaliste qui a eu un accident il y a un mois, et comment arrivés aux urgences d’un hôpital à capitaux publics, le chirurgien nous tenait un langage commercial, sans se soucier de la souffrance humaine. Hein, vous avez 400 mille ? Vous avez l’argent ? Si vous avez l’argent, on travaille », nous a-t-il lancé de façon impassible, tandis que le journaliste broyait du noir avec son pied. Une fois notre accord pour déposer la somme exigée, j’ai été choqué de voir une grande joie sur son visage, et juste après, il nous a dit qu’il a un matériel en location. J’ignore son nom technique, mais ce sont des fers qu’on met à l’intérieur d’un organe humain opéré. Il nous fit savoir qu’il en était propriétaire.
Or, pour être un bon enseignant, un bon personnel de santé, il faut d’abord être une personne très sensible à la souffrance humaine. Je ne demande pas à ces catégories sociales, notamment aux personnels sanitaires, de travailler gratuitement, parce qu’il faut être payé pour ce qu’on fait, pour vivre décemment, et pourvoir à ses besoins, mais je leur demande un minimum d’humanité dans des situations d’urgence.
La société camerounaise se diabolise à un rythme effréné, et ce depuis l’an 2000.
Quand nous le decrions et mettions en garde, on nous traitait pejorativement de pasteurs des églises réveillées. Aujourd’hui toutes les sectes sataniques se retrouvent au Cameroun, et y comptent des adhérents.
Darren Lambo Ebelle,
Citoyen camerounais