VALSERO NE NIE PAS LES RÉVÉLATIONS D’ETO’O ET MENACE DE L’ENVOYER EN PRISON
S’il y a un passage qui a retenu l’attention des téléspectateurs lors du passage du président de la Fédération camerounaise de football hier soir, est son tacle glissé sur l’artiste engagé Valsero. « Il y’a un certain chanteur rappeur qui oublie qu’il a vécu 2 ans à mes frais en Europe. Je lui donnais 5000€ le mois Soit 3.250.000F et il me critique aujourd’hui », a déclaré Samuel Eto’o sur le plateau deCanal 2 Internationale.
Tous les regards étaient dès lors vers l’artiste militant du MRC pour sa réplique. Très attendu, Valsero vient de faire une sortie sur son compte Facebook où il ne nie pas des relations avec Samuel et l’accuse d’avoir étalé dehors le linge sale de la famille.
« Samuel Eto’o tu as joué mauvais jeu, tu as brisé tous les codes de la famille. Tu as même essayé de m’humilier, ce n’est pas normal. Quand je te fais un reproche Samuel, c’est pour que tu t’améliores, ce n’est pas pour que tu sois minable. Il y a quelque chose qui est clair, c’est que tu as répondu à beaucoup de questions, cela j’ai beaucoup aimé », clame le rappeur.
Il ne nie non plus avoir reçu de l’argent de la part de l’ancien capitaine des Lions Indomptables du Cameroun, mais ironise qu’il coûte cher. « On parle d’une somme importante, 78 millions de FCFA, et le journaliste ne lui demande pas que tu donnais l’argent au gars-là, pourquoi ? Il y a une chose qui est importante : C’est que Valsero coûte chèr. Eto’o vient de faire un acte de vérité qui permet de mettre certaines vérités sur la table. Il y a des gens qui n’ont pas de prix. La question que vous deviez poser à Samuel est pourquoi il a donné tout cet argent ? », se demande Valsero.
Et, il en garde encore quelques secrets qu’il se réserve de révéler au détriment du président de la Fédération camerounaise de football qui est pourtant proche du régime: « Samuel Eto’o, si je dis pourquoi tu avais donné cet argent, tu seras dans les problèmes. Tu iras en prison. Tu mets même dans une zone d’inconfort ».
