LE PÉNIS HUMAIN SERVI DANS UN PLAT DANS UN GRAND PAYS D’AFRIQUE

Quand le média international avait
révélé  que l’empereur Bokassa
1er mangeait de la chair humaine,
on avait  cru que c’était une
campagne de diabolisation contre
un dirigeant africain qui se présentait comme un nationaliste anti-impérialiste.  Mais au 21 ème siècle , en Centrafrique, on continue à consommer la chair
humaine jusqu’à en exporter

La police camerounaise avait  découvert
un colis comportant des têtes et
des membres humains transportés par un passager en 2017. Il  avait reconnu vouloir aller les écouler au Cameroun où on a d’ailleurs découvert la viande humaine et le corps d’une petite fille assassinée et vendue par sa mère dans un restaurant, l’année dernière.

Le même trafiquant de chair humaine avait aussi révélé qu’il écoulait sa marchandise au Nigeria. En juillet 2017, la police nigeriane avait  fermé un restaurant après y avoir découvert deux têtes humaines enrubannées dans du
cellophane. Selon le journal « The
Independent », a viande humaine
était, vendue comme un plat d’exception dans le restaurant d’Anambra (sud du pays), au Nigeria, où onze personnes avaient été arrêtées. Cette fois-ci, un client a découvert un pénis dans son repas dans un restaurant nigérian . Le  long pénis sauté à la tomate, lui a été servi alors qu’il s’attendait à un plat de boeuf.

Les anthropophages des antibalakas sont souvent accusés de consommer la chair humaine et l d’exporter au Nigéria après avoir soigneusement dépecé les corps.
Dans son article, Palmer cite Jungle
Ways [Secrets de la jungle], un
ouvrage datant de 1931 de William
Buehler Seabrook, un journaliste au
New York Times. Il y raconte son
voyage en Afrique, au sein de tribus
antropophages. Son récit donne la
description la plus détaillée du goût
de la viande humaine. Selon lui,
crue, elle ressemble au bœuf.
Cuite, voilà à quoi elle fait penser:
«C’était si proche d’une bonne
pièce de veau à pleine maturité
qu’à mon sens, aucune personne
dotée d’un palais ordinaire et d’une
sensibilité normale n’aurait pu faire
la différence.»