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C’EST FINI: ALI BONGO A PERDU SES SENS ET A OUBLIÉ SA SIGNATURE

Le mensonge prend ascenseur tandis que la vérité emprunte les escaliers.Le pouvoir a été pris la main dans le sac à l’occasion de ce dernier sommet organisé à Libreville.

Ce qui me choque,ce n’est pas tant la signature non conforme d’Ali Bongo ,qu’il a lui-même apposé sur le rapport sanctionnant les travaux,car on sent un homme épuisé qui effectivement revient de loin,qui peine à retrouver ses automatismes,à tenir un stylo et qui se débat pour se rappeler de sa propre signature. C’est par contre les décrets qu’on nous présentait depuis le 24 octobre 2018,comme émanant de lui,avec la version conforme et originale de sa signature.

Qui signait donc tous ces décrets de nominations au gouvernement,aux emplois supérieurs des forces de defense et de sécurité, aux hautes fonctions de l’Etat et dans le para-public?

Dans un Etat de droit,on parlera déjà de scandale au sommet de l’Etat, car il est inimaginable de penser un seul instant, que la fonction présidentielle ait été usurpée par une quelconque personnalité. La Haute Cour de Justice devait déjà être saisie pour trancher sur ce cas grave de haute trahison.

Voilà encore la preuve que le Gabon n’est pas un Etat normal,encore moins une république qui se respecte, mais un fourre-tout ,une cour du roi Petaud où l’on peut tout se permettre.Mais malheureusement,il se trouvera encore des pedegistes qui vont toujours chanter que ce pays est un Etat de droit ,avec des institutions qui fonctionnent normalement.

Puisque la preuve de vie d’Ali Bongo a déjà été maintes fois administrée par des multiples images diffusées dans les medias,ce detail inattendu et de flagrant délit ,démontre pertinemment, qu’il présente des sérieux troubles de mémoire, qui doit amener les autorités concernées, à faire constater la vacance du pouvoir pour « empêchement pour quelque cause que ce soit » comme le prévoit la constitution du Gabon.

On comprend pourquoi il ne peut pas accorder une interview télévisée en direct,de peur qu’il n’arrive pas à se souvenir de certaines choses que pourront lui rappeler les journalistes sous formes de questions.

Si Ali Bongo devient incapable d’imiter sa propre signature correctement ,sur un document qui engage toute une nation,c’est qu’il n’est plus apte à diriger ce pays .Il doit se retirer de la scene politique et se consacrer à sa santé.

Si le pouvoir doit rester dans le PDG et en occurrence dans le G2 (puisque ni les opposants et les ressortissants d’autres provinces ne peuvent pas) ,il doit y avoir forcement un autre compatriote capable de le remplacer au lieu d’humilier tout un pays de la sorte.

Pierre Ntoum.

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Le Régime en place nous disait qu’Ali Bongo Ondimba s’est rétabli de son double AVC de type hémorragique. Mais, il n’en est rien en réalité.

En effet, le régime au pouvoir incarné par la famille Bongo, avait mis une équipe pour faire oublier aux gabonais la maladie d’Ali Bongo Ondimba qui, en réalité, est visible non seulement sur son corps qui ne s’est toujours pas remis, mais aussi sur ses actions désormais inexistantes.

L’Ajev avait pour rôle, de distraire les gabonais et les éloigner du vrai sujet raison pour laquelle Brice Laccruche Alihanga disait être le  » Fusible « . C’est-à-dire faire oublier la question de l’état de santé d’Ali Bongo Ondimba. Et cela avait marché à la perfection. Les Gabonais passaient plus de temps à parler de Brice Laccruche Alihanga que de l’état de santé d’Ali Bongo Ondimba.

En réalité, selon une source de la Présidence de la république, Ali Bongo Ondimba ne passe pas plus de 10 minutes dans les fameuses audiences qu’on nous montre. C’est juste une stratégie de communication bien faite. La vérité est que le Président de la République après son arrivée dans la salle, salue ses invités et échange quelques mots avec eux. Ensuite, il se retire et la suite de la séance se passe avec Jean Yves Teale (le SG de la Présidence), Théophile Ongandaga (le Directeur de cabinet du PR) et les Ministres présents pour la circonstance.

Ce que l’on cache au commun des mortels est l’inaptitude d’Ali Bongo Ondimba à s’exprimer au moins durant 5 minutes. Son AVC lui aura quasiment tout pris. Il est aujourd’hui incapable de tenir un échange cohérent pendant un petit temps.

Lors du conseil des ministres, c’est le même scénario. Le Président vient, puis se retire.
C’est en quelque sorte ce que vous avez pu voir le 17 août 2019.

Ali Bongo Ondimba à perdu cette aptitude à réfléchir et à s’exprimer de lui-même. Tout lui est soufflé. C’est ce qui l’a toujours empêché de venir aux conférences de presse lors des visites de ses homologues présidents qui viennent le voir.

Ali Bongo Ondimba n’est plus qu’un homme à qui on dicte ce qu’il est sensé dire. Voilà pourquoi il ne sepêtera jamais à une conférence de presse. Encore moins, prendre part à un sommet sous régional ou international. A ce sujet, notre informateur nous laisse entendre qu’il est arrivé plusieurs reprises qu’Ali Bongo Ondimba parle, par exemple, d’un dossier de diplomatie ensuite il venait à parler de nourriture puis de film. Ce qui devenait gênant et inquiétant. Aujourd’hui, l’excuse donnée à ceux qui lui rendent visite est la suivante:  » le Président doit se retirer pour poursuivre sa rééducation « . En gros, c’est ce scénario qui se produit tout le temps au palais du bord de mer.

Les choses du pays.

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