COVID-19: LE REFUS DE LA CHLOROQUINE QUALIFIÉ DE CRIME D’ÉTAT
Trois grands noms de la santé apportent aujourd’hui leur soutien à Didier Raoult et à la chloroquine, dans une tribune du Figaro.
N’en déplaise à Olivier Véran, qui patauge misérablement et ne supporte pas la contradiction !!
Stop à l’assassinat programmé de nos aînés !
La colère monte chez les professionnels de santé et les appels à généraliser le traitement de notre star planétaire se multiplient :
En Italie, en Espagne, où la chloroquine est autorisée et où on constate une diminution du nombre de morts quotidiens. Si le confinement freine l’épidémie, personne ne peut affirmer que la chloroquine n’y est pour rien.
Car c’est bien à Marseille que le Coronavirus tue le moins.
Alors que les intégristes des procédures et règlements en tous genres, qui encadrent les essais cliniques, démolissent les travaux du Pr Raoult , accusant ce dernier de manquer d’éthique et de mettre en danger la vie des patients, on apprend que trois grands noms de la médecine se disent convaincus par les résultats de la chloroquine obtenus à l’IHU de Marseille.
Fabien Calvo, ancien directeur scientifique de l’Institut national du cancer, Jean-Luc Harousseau, ancien président de la Haute Autorité de santé, Dominique Maraninchi, ancien directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, disent oui à la généralisation de la chloroquine selon le protocole du professeur Raoult.
Pour eux, aucun doute. Le traitement du Pr Raoult fait baisser la charge virale dans 90 % des cas en moins de huit jours, évitant ainsi l’aggravation et le transfert en réanimation des patients.
En revanche, sans traitement, le virus persiste chez plus de 50 % des patients après huit jours.
Par conséquent, « le traitement à la chloroquine permettrait de réduire la période de contagiosité de façon significative, facilitant ainsi l’éradication de l’épidémie. »
Pour la majorité des Français, la cabale menée contre l’éminent infectiologue marseillais est aussi injuste qu’incompréhensible.
Voir Karine Lacombe s’acharner violemment contre un remède qui sauve des vies dépasse l’entendement. De la mauvaise foi à l’état pur, car plus le temps passe et plus le Covid-19 tue !
Beaucoup y voient une manœuvre dictée par les liens que ce médecin entretient avec de nombreux laboratoires, lesquels n’ont aucun intérêt à voir le Covid-19 vaincu par une simple boîte de chloroquine à 5 euros, aux effets secondaires modestes et connus depuis 70 ans !
Mais le pire est de prétendre que l’étude « Discovery » menée en Europe va lever le voile sur l’efficacité de la chloroquine, alors que cette étude biaisée ne respecte aucunement le protocole du Pr Raoult.
Tout est orchestré pour démontrer l’inefficacité de la chloroquine et pour torpiller les travaux d’une sommité médicale de renommée internationale.
En effet, sous couvert d’une éthique plus que douteuse, l’étude « Discovery » va tester la chloroquine seule, sans antibiotique associé, et sur des patients ayant des symptômes depuis huit jours, alors que le Pr Raoult préconise un traitement immédiat pour faire baisser la charge virale en seulement sept jours.
Fausser sciemment les résultats est tout simplement criminel.
Le dernier bilan de l’IHU de Marseille est le suivant : 2 179 patients traités et 9 morts, ce qui donne un taux de mortalité de 0,4 %. C’est remarquable.
https://www.mediterranee-infection.com/covid-19/
Où est l’éthique quand on laisse mourir les patients alors qu’un remède existe en médecine d’urgence, en attendant mieux ? Un remède disponible immédiatement et pas cher.
Certes, les chiffres obtenus par le professeur Raoult résultent d’une étude empirique, mais ils montrent une incontestable efficacité de la chloroquine, associée à un antibiotique, et administrée dès les premiers symptômes.
Précautions essentielles avant traitement : un électrocardiogramme et un dosage du potassium préalables.
Ce n’est pas un hasard si des milliers de médecins à travers le monde plébiscitent l’usage de la chloroquine. En Espagne, 72 % des médecins la prescrivent.
En France, nos « experts » ont fait le choix de laisser les patients contaminés rentrer chez eux, aggravant ainsi l’épidémie et engorgeant les hôpitaux, au point de ne plus pouvoir traiter les vieux, qu’on euthanasie faute de moyens.
Elle est belle l’éthique officielle, qui voudrait faire passer Didier Raoult pour le « Docteur Maboul » !!
Nos trois sommités de la médecine préconisent donc l’élargissement des tests aux patients suspects et la généralisation de la chloroquine chez les médecins généralistes.
« Les patients, légitimement, ne tolèrent pas que le diagnostic sur leur état de santé soit simplement présumé et qu’il leur soit seulement recommandé de rester chez eux avec la crainte de complications, alors même qu’une option thérapeutique simple, sous surveillance médicale, peu onéreuse et possiblement efficace pourrait leur être proposée ».
« Une proposition de soins élargie doit être avancée alors que les services de réanimation sont surchargés et que des tensions sont présentes sur les approvisionnements en médicaments et appareils qui leur sont indispensables. »
De son côté, l’ex-ministre de la Santé Douste Blazy, visiblement plus lucide et pragmatique que nos obsédés de la randomisation que sont Karine Lacombe et Olivier Véran, en appelle au gouvernement pour agir en urgence.
La seule solution pour limiter les dégâts, c’est la chloroquine, ajoute Nicolas Dupont-Aignan.
Un message de bon sens qui n’atteint pas Karine Lacombe, laquelle reste de marbre devant la peur des Français et l’urgence de la situation.
Car c’est l’hécatombe dans nos hôpitaux et nos Ehpad.
Le monde entier plébiscite le remède d’un génial médecin français, sauf la France ! C’est tout simplement sidérant.
Jacques Guillemain