Europe

DEUX CAMEROUNAISES RETROUVÉES MORTES EN EUROPE; ET UNE INCINÉRATION !

Des journées noires s’enchaînent pour la communauté camerounaise dans la diaspora avec des morts suspectes en cascade. Après la Camerounaise qui a été assassinées à l’aide d’un poignard par son ex-mari lui aussi Camerounais, on déplore la disparition d’une jeune Camerounaise retrouvée morte dimanche 11 septembre 2022 dans la rue.

Selon les sources, sa dépouille a été découverte au bord du lac par des passants. Ceux-ci vont alerter dans la foulée la police qui évoquera la piste du suicide à travers plusieurs éléments de preuves retrouvés tels que son compte Instagram désactivé, son téléphone détruit, et le message d’adieu envoyé à sa mère.

Mais, cette thèse est à prendre avec des pincettes. Comment la dépouille a-t-elle fait pour se retrouver à bord d’un lac? A-t-elle préalablement été droguée ? Qu’est-ce qui a pu donc la pousser à mettre fin à sa vie? Que dit-elle dans sa lettre? Où et quand a-t-elle été postée pour déjà atterrir directement entre les mains de sa mère ?

Au même moment où cette mort laisse beaucoup de zones d’ombres, une autre Camerounaise est retrouvée  morte dans sa chambre à Liège, en Belgique. C’est après la diffusion de ses photos sur les réseaux sociaux que sa famille s’est manifestée. Mais, son corps ne sera pas rapatriée dans son pays natal, le Cameroun.

« L’incinération de Ursule Bissa Edoa est prévue demain mardi 13 septembre 2022. Cependant, sa maman a rendez-vous ce jour à l’ambassade pour sa demande de visa afin d’assister aux obsèques. Elle a besoin d’une association qui peut repousser la date de l’incinération dans un délai de 15 jours. », nous renseigne La Griote

Elle a été retrouvée morte dans sa chambre, mais  personne ne connaît les circonstances de son décès. La famille va-t-elle demandé une autopsie. Pourquoi a-t-elle demandé de ne pas être inhumée au Cameroun ? Savait-elle qu’elle allait bientôt mourir ? Etait-ce également un suicide ? Aucune réponse à ces interrogations au moment où nous mettons sous presse.

 

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