DEUX MINISTRES IVOIRIENS CONFIRMENT LA MORT DE DJ ARAFAT
« C’est vrai. La triste nouvelle est une réalité. DJ Arafat, mon fils est parti. Je me suis personnellement incliné sur sa dépouille ce matin. Je suis profondément affligé.
C’est une lourde perte pour la culture africaine.
J’adresse mes prières pour le repos de son âme.
Je présente mes condoléances à sa maman, ses enfants, et toute sa famille, à nous ses fans,
ainsi qu’à tous les ivoiriens. Son ouvrage et son souvenir resteront à jamais gravés dans nos mémoires.Adieu L’artiste !Adieu Didier ! R.I.P. », vient de publier le ministre Ahmed Bakayoko sur sa page Facebook officielle .
Il avait déjà écrit : « Tous mes voeux de prompt rétablissement à la journaliste Denise Delaphafiet. Elle a notre soutien et toute notre compassion dans ces moments difficiles qu’elle traverse. »
« Je suis à la clinique où DJ Arafat a été admis. Je peux vous confirmer que l’artiste est décédé. Je suis avec le ministre d’État Hamed Bakayoko, pour nous organiser avec la famille », a déclaré de son côté Maurice Bandaman, ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie.
Il n’y a donc plus de doute: la star du coupé-décalé est bel et bien décédé à la Polyclinique des Deux Plateaux, à Abidjan. DJ est mort des suites de ses blessures après un grave accident de moto survenu dans la nuit de dimanche à lundi. Son engin a percuté une voiture conduite par une journaliste de Radio Côte d’Ivoire.
Le chanteur, inconscient, a été rapidement pris en charge et admis en soins intensifs. Il a été admis aux urgences dans un état végétatif, selon les sources médicales. Il n’a malheureusement pas survécu puisqu’il ne portait de casque. Conséquence, il a eu une fracture du crâne. Triste, triste pour la musique africaine. DJ Arafat qui était déjà annoncé mort en 2017 des suites d’accident, succombe finalement à ses blessures après un accident.