Afrique

ELLE DÉFIE EUDOXIE YAO ET SE VEND À 1 MILLION DE DOLLARS

Eudoxie Yao est devenue une célébrité en Côte d’Ivoire et partout en Afrique en exhibant ses formes rondes. Mais, depuis un certain temps, certaines mauvaises langues affirment qu’elle  serait  une prostituée de luxe, et qu’une nuit dans ses bras coûterait la somme de 20 millions FCFA. Une information à laquelle la concernée a tenu à apporter des précisions.

« Il y a une rumeur qui circule à nouveau, que pour passer la nuit avec moi, il faut débourser la somme de 20 millions FCFA. C’est faux, je n’ai jamais dit une telle chose et je ne me prostitue pas… Il y a quelques années dans les débuts de ma célébrité, le magazine Top visage, a fait une interview avec moi avec le journaliste Charlie la légende. Il m’a demandé si je n’avais jamais eu une proposition indécente et si oui à combien ça s’élevait. J’ai répondu que j’ai plusieurs proposition indécente et qu’on m’a proposé 20 millions FCFA, mais que j’avais refusé…», a écrit Eudoxie Yao, sur ses pages Facebook et Instagram.

Souvent sollicitée à travers le monde, Eudoxie Yao est toujours entre deux avions. Nombreux sont les observateurs qui ne comprennent pas les raisons de ses multiples voyages de la «go bobaraba». Après avoir décidé de se lancer dans le show-biz, la «femme» de la star guinéenne «Grand P3» est suspectée par des internautes de se servir de la chanson pour camoufler la prostitution .

« Donc, je ne comprends pas pourquoi les gens continuent de salir mon image sur cette histoire en disant qu’il faut 20 millions FCFA, pour sortir avec moi. Je vous le dis mes bébés, faites très attention à ce que les gens disent sur moi, car ils mettent tout en œuvre pour essayer de salir ma réputation », s’est-elle défendue.

Par contre, la Nigériane Lady Gbemi qui se démarque aussi par sa poitrine volumineuse, a dévoilé son prix  aux éventuels prétendants.

«𝐌𝐚 𝐝𝐨𝐭 𝐞𝐬𝐭 𝟏 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐥𝐥𝐚𝐫𝐬 𝐨𝐮 𝐫𝐢𝐞𝐧. 𝐒𝐢 𝐭𝐮 𝐧’𝐞𝐧 𝐚𝐬 𝐩𝐚𝐬, 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐭𝐨𝐧 𝐜𝐡𝐞𝐦𝐢𝐧», a déclaré Lady Gbemi.

La dot est une somme symbolique accompagnée de plusieurs présents (selon l’ethnie ou la communauté) qu’on donne à sa belle famille pour demander la main à une femme . Cette dot est généralement fixée par la belle famille. Et le futur époux doit se plier aux exigences de ladite famille. Dans certains cas, lorsque la somme est très conséquente, les négociations peuvent être engagées. L’objectif sera toujours atteint. Certaines belles familles exigent que souvent des sommes très modiques soient versées. Juste affirmant qu’il ne faudrait pas donner l’impression que la dotée soit sujette à une sorte de marchandage.

La Nigériane Lady Gbemi ne l’entend pas de cette oreille. Elle coûte très chère. Elle n’est pas comme les autres femmes et connaît sa valeur. Pour Thick Barbie Brownridge, elle est trop belle pour être dotée à moindre coût. Elle a affirmé donc sans ambages que pour prétendre la prendre pour épouse,  il faudrait verser la rondelette somme  de 1 million de dollars! En d’autres termes, pour épouser Thick Barbie Brownridge il faut avoir un compte bancaire bien garni.  Le reste n’est pas important . Un pauvre ou une personne modeste ne doit même pas s’y engager. Aucune négociation ! Il s’agit de sa vie et non de ses parents donc ils n’ont aucun mot à y ajouter!

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