Afrique

ERNEST OBAMA MET KO BRUNO BIDJANG ET RECADRE JEAN BRUNO TAGNE

Quelques jours après l’interview exclusive accordée à Canal 2 international, le chef de département de la FECAFOOT Ernest Obama était l’invité sur un plateau spécial présenté par le journaliste Joly Koum sur la chaîne LTM. Occasion de règler les comptes à ses anciens collègues.

Répondant à son ancien collègue de Vision 4 Bruno Bidjang qui n’avait pas hésité à l’accuser de trahison vis-à-vis de Jean Pierre Amougou Belinga, le chef de la communication de la Fecafoot Ernest Obama s’est montré très virulent . Pour lui, Bruno Bidjang  n’a pas encore la qualité de journaliste. Pour l’être, il va devoir retourner achever son cursus académique.

 » On ne peut pas être journaliste sans avoir été à l’école, sans avoir eu de formation. Pour moi il n’est pas encore journaliste, qu’il rentre d’abord finir ses études et dans 15 ou 20 ans, il sera une référence. », déclare l’ancien directeur de Vision 4.

Cependant, Ernest Obama trouve que c’est un honneur de voir qu’il est un modèle pour Bruno Bidjang qui cherche à le ressembler sur le plan journalistique.

« Bruno Bidjang est très brillant. Je vois qu’il fait l’effort de me ressembler. C’est un honneur pour moi. Il serait meilleur, s’il allait dans une école de journalisme (…) Pour moi il n’est pas encore journaliste, qu’il rentre d’abord finir ses études et dans 15 ou 20 ans, il sera une référence», bombarde Ernest Obama.

Concernant les sorties tranchantes de l’ancien directeur de campagne de Samuel Eto’o, Ernest Obama lui demande de s’abstenir pour un besoin de cohérence.

« Notre amitié a eu des hauts et des bas. Il a été choisi, il a fait ce qu’il a fait. C’est Eto’o lui-même qui conduisait sa campagne. Je l’ai appelé pour savoir si ce que je lis vient de lui et il m’a dit que ça vient de lui. Nous sommes dans un pays démocratique. Les gens sont libres de donner leurs opinions. Jean Bruno Tagne est libre. Moi à la place de Tagne, je ne donnerai pas d’avis contre celui pour qui j’ai été directeur de campagne. Il y a une question de cohérence. », déclare le fervent défenseur de Samuel Eto’o.

 

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