IL EXÉCUTE SA FEMME AVEC 10 BALLES EN PRÉSENCE DE LEURS 3 ENFANTS
La police de Mesquite a arrêté un homme de Garland pour avoir tiré et tué sa femme dimanche.Ashton Neroes, 28 ans, est l’auteur de cet acte odieux.
La victime, Markeita McCleary, 28 ans, a été retrouvée abattue à plusieurs coups de balles peu après 17h30 dans le bloc 1700 de Oates Drive.Elle a été transportée d’urgence dans un hôpital local où elle a été déclarée morte.
La police n’a publié aucun détail sur les motifs de cet assassinat de sang froid. Mais, selon certaines indiscrétions, il s’agirait d’un crime passionnel. L’épouse aurait demandé le divorce, ce qui aurait poussé son mari à l’abattre.
“Je t’aime trop pour te laisser partir », a posté Ashton Neroes sur son mur Facebook
avant de lui tirer dessus.
Une étude, relayée par le site internet américain Newsweek.com révèle que 90% des auteurs de ces féminicides sont des jeunes hommes. Cette étude a été publiée dans la revue pédiatrique JAMA.
Pour leurs recherches, les auteurs de l’étude ont collecté, sur une période de 13 ans, les données de plus de 2000 homicides dans 32 états des Etats-Unis. Sur les 150 meurtres commis sur de jeunes adolescents, 135 des victimes étaient des jeunes filles.
Les enquêteurs ont également compilé les mobiles invoqués. Dans la majorité des cas c’est lorsque la jeune femme annonce qu’elle veut quitter son partenaire que ce dernier passe à l’acte. Parmi les autres motifs: une dispute, un désaccord sur une grossesse ou l’usage imprudent d’une arme à feu.
« Dans une relation amoureuse, les filles, peuvent être exposés à un risque d’homicide, surtout en cas de rupture ou de jalousie et lorsque les auteurs ont accès à des armes à feu.
Avanti Adhia, chercheuse au Harborview Injury Prevention and Research Center de la faculté de médecine de l’Université de Washington et autrice principale de l’étude, explique à la revue JAMA que la violence entre partenaires intimes » est une question de santé publique qui devrait être prise au sérieux. »
« Bien qu’il ne s’agisse pas d’un phénomène courant, il se produit plus souvent qu’on ne le pense », ajoute-t-elle.