LA MAFIA VEUT ASSASSINER L’ARBITRE DU MATCH REAL -JUVE
Michael Oliver a commis l’erreur de siffler un penalty valable contre la Juventus, le club européen qui avait été relégué en deuxième division pour corruption des arbitres du Calcio. Et voilà que le clan de la mafia décide de tuer un arbitre qui, lui, est d’une honnêteté et d’une probité morale exemplaire, selon l’UEFA. Non seulement ces barbares corrompus jusqu’à la moelle épinière avec la gâchette facile ont promis mettre des balles dans la cervelle de l’arbitre anglais de la rencontre qui a pourtant validé trois buts turinois et a refusé un but d’Isco pour un hors-jeu discutable , mais aussi, ils ont adressé des menaces de mort à son épouse et tout son entourage . Les menaces étant de plus en plus sérieuses, la police anglaise a décidé de placer le jeune arbitre avec sa famille sous protection.
l’UEFA dont le responsable de l’arbitrage avait déjà déclaré que le penalty sifflé par l’arbitre Michael Oliver ne souffrait d’aucune contestation, est une nouvelle fois sortie du silence. L’instance du football européen condamne fermement le harcèlement dont font l’objet Michael Oliver et sa femme après cette rencontre: 《Nous sommes en contact avec eux pour leur offrir notre soutien et nous faisons entière confiance aux autorités compétentes pour prendre des mesures contre les individus qui se sont comportés de manière inappropriée sur et en dehors des réseaux sociaux》, a expliqué l’UEFA via un communiqué. Une enquête menée par les spécialistes de la cybercriminalité suit actuellement son cours en Grande-Bretagne.
Si le jeune arbitre qui n’a fait que son travail était assassiné, qui aurait été l’instigateur? Buffon et ses coéquipiers qui ont fait croire au monde entier en direct à la télé que l’arbitre était soudoyé. Chiellini a carrément fait des gestes des doigts et des mains pour survolter et révolter les supporters. Comme le dit un proverbe africain: 《 quand un chien commence à aboyer contre une ombre, tous les autres l’imitent en croyant qu’il s’agit d’un voleur 》.
J.REMY NGONO
