LE MINISTRE PROFESSEUR AGRÉGÉ QUI COMPTE LES FAUTES D’ORTHOGRAPHE

M. Fame NDONGO,

Quand on se courbe, de façon aussi obséquieuse, devant un premier ministre français :

– d’une part, on ne peut avoir le cran de dénoncer la négrophobie ( le racisme anti-Noir), s’indigner devant les violences policières et racistes en Occident et d’exiger la lumière sur le role pernicieux de la France dans les sources du problème et de la crise dit anglophone, l’élimination des héros de l’Indépendance et les massacres de centaines de milliers de Camerounais à l’Ouest et dans la Sanaga-Maritime ;

– d’autre part, on ne peut donner des leçons de dignité et de politique à un ou des opposants au Cameroun ! ;

– enfin, on est peu crédible quand on parle de  » souveraineté « , de fibre panafricaine…

Avant de compter les fautes d’orthographe de vos opposants, interrogeons notre rapport à la grammaire des civilisations et des relations internationales.

A. Mounde Njimbam
Citoyen Africain-Camerounais