LE PRÉSIDENT DU BARÇA TENTE D’ALLER AGRESSER LES ARBITRES DU CLASICO
Le Real Madrid a dominé techniquement et tactiquement le FC Barcelone lors du clasico qui s’est soldé par 3-1. Mais un fait de jeu fait actuellement beaucoup parler du côté catalan. Alors que le FC Barcelone était mené 2-0, Robert Lewandowski s’est faufilé dans la surface et a été légèrement bousculé par Dani Carvajal. Mais après un moment d’hésitation, le corps arbitral a décidé de ne pas siffler penalty.
Une décision qui a beaucoup agacé Xavi Hernandez, mais aussi le président catalan, Joan Laporta. Une fois le match terminé, Joan Laporta est allé dans les vestiaires de l’arbitre pour demander à plusieurs reprises des explications sur certaines situations du match. Notamment sur cette situation avec Lewandowski. «Compte tenu de ces événements, il a été invité à quitter le vestiaire de l’arbitrage», précise le rapport de l’arbitre, relayé par Sport.
D’après le quotidien sportif espagnol Sport , Joan Laporta, le président du FC Barcelone, n’a pas supporté les faits de jeu du clasico et s’est enfoncé dans les arcanes du Santiago Bernabeu pour aller s’expliquer avec les arbitres. Un incident qui aurait été consigné dans le rapport du match par Monsieur Sanchez Martinez et qui pourrait coûter cher au président du Barça.
En effet, une fois le match terminé, « Joan Laporta s’est rendu dans le vestiaire de l’arbitre et a demandé à plusieurs reprises des explications sur certaines situations du match. Au vu de ces événements, il a été invité à quitter le vestiaire de l’arbitre. »
La version des faits du club catalan a été expliquée à Mundo Deportivo par l’entourage du président. Selon le média catalan, le président a demandé des explications « avec le plus grand respect », selon les sources citées, à l’arbitre principal du match sur les critères appliqués lors de la révision d’une action et pas d’un autre, faisant référence à l’éventuel penalty sur Lewandowski suite à une poussette de Dani Carvajal. L’arbitre a répondu que, selon ses critères, l’action à laquelle le président faisait référence ne méritait pas d’être revue.
Jordi Cruyff, qui s’est exprimé publiquement à la fin de la défaite, était déjà surpris que le challenge de Carvajal sur Lewandowski n’ait pas été revu. « Ce qui est normal, c’est qu’on regarde au moins le jeu. Nous sommes surpris, mais ce n’est pas une excuse. Je ne veux pas que cela ressemble à l’argument de notre défaite », a-t-il déclaré.