L’ENTRAÎNEUR DU BARÇA VERSE TOUT APRÈS LA VICTOIRE CONTRE ATLETICO MADRID
Le FC Barcelone est leader de la Liga grâce à sa victoire sur le terrain d’Atletico Madrid. Le Barça récupère son fauteuil de leader en Espagne avec trois points d’avance sur le Real Madrid. Mais que ce fut dur! Xavi Hernández l’entraîneur du club catalan est conscient des manquements et se lâche :
« Quand on change de système, parfois un joueur ne se sent pas complètement à l’aise. Nous sommes passés à un 3-4-3 parce que je pensais que cela nous donnerait plus de contrôle et de possession. Au début, ça s’est bien passé pour nous, mais ça nous a coûté plus tard. »
« Araújo est un défenseur extraordinaire, tout comme Christensen, Koundé et Balde, ils se donnent tous quand ils sortent pour jouer et c’est une source de fierté pour l’entraîneur. Araújo est un grand leader. »
« Kessié ne se fatigue jamais, il est très fort physiquement mais aussi avec le ballon. Il nous aide énormément au pressing haut. »
« Sans bien jouer, vous pouvez aussi gagner et c’est le football, vous ne pouvez pas toujours bien jouer. »
« L’idée était de dominer le match, mais nous avons souffert en deuxième mi-temps. On ne peut pas toujours être excellent. »
« Les trois points nous donnent un bon moral et une grande confiance dans ce qui nous attend. Aujourd’hui, sans bien jouer, nous avons su souffrir et nous avons obtenu trois points en or. Nous sommes venus ici pour être candidats à cette Liga. »
« Je pense qu’on a abusé de la passe en retrait vers Ter Stegen dès qu’on a récupéré le ballon. C’est très important de jouer dans la moitié de terrain adverse mais aussi de jouer dans sa propre moitié parfois. »
« A la mi-temps, je leur ai dit que nous devions continuer avec l’intensité que nous avons montré dans la première demi-heure et contrôler le jeu, mais il y a eu un moment en seconde période où nous n’avions pas le ballon. »
« Nous avions le sentiment qu’ils auraient pu marquer à tout moment, mais nous avons aussi eu l’occasion de marquer un deuxième but. On ne contrôle pas toujours le match, mais on a bien fait parce qu’on savait souffrir. »
