PAUL BIYA, MEILLEUR ÉLÈVE DE LA FRANCE ET DES PROJETS FOIREUX
Lorsque Monsieur Paul Biya déclare malicieusement à Mr François Mitterrand être son « meilleur élève » donc de la France, peu de gens saisissent alors la substance d’une périphrase de celui qui jusqu’à ce jour n’est demeuré rien d’autre qu’un UPECISTE pur et dur, et qui ne signifiait rien d’autre que « je vous battrai à votre propre jeu » : le pourrissement !
LE LONG COMBAT DE L’UPC
L’ambition des Pères fondateurs de l’UPC était de Libérer le Cameroun de l’étau d’exploitation et d’asservissement colonial, à l’instar des autres grands panafricanistes. Nkrumah, Lumumba, Um Nyobe etc….qui ont tous été décimés en raison de leurs projets.
Les colons Européens n’avaient en réalité aucune intention de laisser prospérer le rêve d’une Afrique, Grande, Indépendante et Prospère et qui se développerait sous leur nez ou grâce à leur concours. Et à ce jour, ils n’ont toujours pas en projet de changer ce paradigme gagnant pour eux.
Pour la réussite et la pérennité de cette esquisse maléfique, ils usèrent des hommes, et des mécanismes concourant au maintien de l’asservissement. Et dans ce registre, tous les instruments étaient en leur faveur. Sauf pour ce qui est du Cameroun : Le Temps et un Homme.
En effet, par le maintien d’une stratégie permanente de déstabilisation, au travers de coups d’états, d’élections truquées, d’hommes de paille, de financements contrôlés et bien d’autres manœuvres associées aux diktats d’organismes taillés pour leurs seules ambitions comme l’ONU et ses diverses succursales, l’occident imposait des brimades aux Etats Africains, à leurs populations, bien souvent avec la complicité de pantins illettrés qu’ils avaient mis au pouvoir.
*HOMMES DE PAILLE. COUPS FOIREUX ET INSTRUMENTS VICIÉS.*:
Des hommes dont ils avaient la garantie d’obédience pour assurer la continuité d’une exploitation barbare, au-delà de l’imaginable. Il suffit d’observer la Côte d’Ivoire de Ouattara entièrement livrée à la France, pour la survie d’un homme et du système qu’il représente, au détriment d’un peuple dont il prétend se revendiquer. Ou encore de lorgner sur un Gabon devenu province équatoriale de la France. Et que dire d’un Congo Sassounguisé par la même France.
Ailleurs, en Centrafrique, au Benin, au Togo certains parmi ces pantins iront jusqu’à considérer naïvement leurs maîtres comme des « Pères bienfaiteurs » au point d’y aller soit pleurer, soit s’aligner par l’obligation du devoir d’allégeance à de stériles manifestations qu’ils ignorent chez eux, surtout dont ils ignorent les mobiles.
En y ajoutant la stratégie de fallacieux instru-organismes tels l’ONU, La Banque Mondiale, Le FMI, L’OMS, L’UNESCO, L’OMS etc….tous taillés contre l’Afrique Noire et qui ne sont en réalités que des chambres de compensations au service des intérêts des maîtres du G-7 et de leurs accompagnateurs du G-20, vous mesurez la complétude du poids de l’asservissement du continent Noir. Le plus grand et le plus promoteur, qui hélas depuis qu’il a perdu son rayonnement Égyptien, peine à se relever.
Des Hommes donc et des instruments, tout un arsenal de mécanismes subtils anime l’horloge du sous-développement des pays Africains à un rythme si vertigineux qu’il ne reste que peu de temps à quiconque tentera d’implémenter la moindre stratégie gagnante, sauf à avoir une stratégie anticipative et surtout, et surtout………du TEMPS pour la déployer. Temps qu’il manquera à des Sankara, Nkrumah, Lumumba….
« LE SECOND NOM DE DIEU, C’EST LE TEMPS »
En popularisant cet adage, Le Président Laurent Koudou Gbagbo, admirateur de Paul Biya avait bien évidemment compris que seul ce don des Dieux pourrait favoriser une dynamique incrémentale contributive de la libération de son Pays, de son Continent. Mais, son passif d’activiste rendait ultra déchiffrables ses cartes.
*INDECHIFFRABLE SPHINX.*:
Ce paramètre (« Predictable Person ») échappera aux Occidentaux, qui manqueront de lisibilité sur le très énigmatique Biya. Avenant, fin diplomate, et surtout lisse, il ne présentait aucune aspérité en termes diplomatiques pouvant heurter les puissants Européens qui ignorent que Le Lion peut avoir l’arrogance de son assurance. Et l’Homme Lion connaissait ses atouts naturels et culturels.
Fils de la forêt équatoriale, Mr Biya est né avec le siècle passé, dans la puissance et la majesté des éléments qui consacraient aux hommes forces et pouvoirs de leurs environnements naturels, donc de leurs ancêtres, leurs vrais Dieux. Ne dit-on pas que les bénédictions ancestrales sont consacrées aux « Fils des Écorces » ? Et Biya en a reçu.
Résilient parmi ces bourreaux qu’il étudiait sans montrer le moindre signe d’adversité, l’adolescent séminariste grandira au cœur de la révolution en pays Bassa, avec la naissance des luttes farouches, pernicieuses et cruelles pour les indépendances. « L’enfant est le père de l’homme », affirme William Wordsworth.
*NI PAR LA CONFIANCE, NI PAR LA DEFIANCE.*:
Auprès des Hommes captieux de l’église vicieuse, il apprendra à mieux comprendre la félonie. Ce passage lui apprendra à ne jamais trahir ses émotions. Ni par la confiance, ni par la défiance. Il faut rester illisible dans son action. Cette trame contribuera à la réussite de la mission que s’était donné cet Éternel UPECISTE.
En Afrique, comme pour le Football 🏈, on nait vit et meurt dans une obédience, fut-elle sportive. Et il est rare qu’un Africain change de parti politique. Quand on nait avec l’UPC, on reste UPECISTE, et MRCiste avec le MRC. Et l’envie de bouter hors de son espace le dominateur est insubmersible. Pourtant le vrai rebelle restera toujours celui qui ne fait pas de vagues. Et Biya n’en fait pas. Un vrai calme de vipère comme on dit chez Nous les MbidaMbani. Ce trait de caractère sera sa marque et l’instrument de sa réussite.
LA LECTURE DE AHIDJO OU LE DECRYPTAGE DU PANIER DE CRABES
Au lire de leurs us et coutumes, ainsi que des effets quotidiens qui en découlent, le Cameroun se rapprocherait plus d’un panier de crabes que de crevettes, les Camaroes. Et c’est en cela qu’il est un pays à part, béni des Dieux du Char qui le surplombe. Une vraie Tour de Babel au sein de laquelle, les occupants adorent s’entredéchirer et abhorrent toute intervention extérieure.
Nul ne peut diriger ce pays s’il n’est choisi par les Dieux du Mont Manengoumba ou du Mont Koupé qui le gratifieront de pouvoirs extraordinaires. Et surtout, aucun Dirigeant de ce pays n’a été annoncé, programmé ou attendu. La versatilité belliqueuse des Camerounais torpille de facto les succès pré-annoncés, préférant la divine Providence. Il y a une raison mystique en cela. N’est-ce pas normal pour un pays aux presque 300 ethnies ?
Le crabe qui tente de sortir du panier n’y parvient jamais rattrapé par ses pairs. Seule la main de Dieu fera tomber en dehors l’élu, le vrai. Et Biya le fut en son temps.
AHIDJO N’IGNORAIT RIEN POUR TRAHIR SON AMOUR DU CAMEROUN
Ainsi donc, lorsque le premier président Camerounais choisi un homme réputé « le plus mou », peu comprendront ce choix. Nombreux le maudiront. En particuliers ces Camerounais qui s’estimaient héritiers du Trône par la force de l’orgueil et de l’arrogance dont-ils pouvaient se prévaloir, en raison de leur extraction ou de leur éducation, au mépris de leur culture et surtout des aspirations fondamentales de leurs origines.
Aucun Président n’est simple. Et son orientation, bonne ou mauvaise, s’inspire des forces des plus puissantes de l’univers. AHIDJO aimait le Cameroun, et ne pouvait que lui laisser qu’un Amoureux de son Pays. Il n’ignorait rien de tous ses collaborateurs. Même son épouse n’était pas au parfum des secrets du Cameroun que détenait BABATOURA.
Trop occidentalisés et donc soumis aux loges, les collaborateurs de l’ancien Président étaient tous prêts à tout, pour marcher et desservir leurs peuples pour des métaux. Tous ou presque. Sauf un : Biya. L’argent ne l’intéressait pas. Les titres le laissaient de marbre.
Qu’avait-il donc pour projet ? Libérer son peuple. Seul Ahidjo, inspiré par les Dieux qui lui ont transmis le pouvoir, a reçu la confidence des forces obscures. Biya pouvait valablement continuer à débarrasser ce Cameroun qu’il aimait par-dessus tout. Et il savait qu’il aura ce Temps qui lui fera défaut ; La Patience quant à l’adversité des siens et surtout La Ruse face à l’Occident.
AVEC LE CONSENTEMENT PATRIOTIQUE DE BABATOURA
Il faut de l’extra-lucidité pour déceler ces dons, plus que des qualités, chez un Humain. Surtout s’agissant du destin d’un peuple. La réussite de Biya s’extrait de cette projection de Ahidjo. Indiscutablement.
Pour ceux qui se sont arrêtés au non-rapatriement de la dépouille de son mentor, ils sont pardonnés. L’art subtil de gouverner et de conduire une mission complexe n’est pas maîtrisable du commun. Même Ahidjo n’en veut pas à BIYA, contrairement à ce que la Doxa a distillé. Car, un retour prématuré de cette sépulture aurait servi aux européens la soupe de déstabilisation qu’ils espèrent depuis toujours. Nous y reviendrons dans une autre analyse.
*DE LA HAINE À LA RECONNAISSANCE, MON CHEMIN DE CROIX.*:
Je le dis et le répète, Le Choix n’était pas évident. Parlant du Président BIYA, je suis personnellement passé de la haine farouche pour des raisons justifiées, à l’interrogation. Comment un Homme normal, à la tête d’un si beau et grand Pays peut-il être d’une cruauté si passive (l’était-il ?). De l’interrogation à la découverte. De la découverte à l’analyse du sens de ces inerties de surfaces. De la découverte à la compréhension. De la compréhension à l’adhésion. De l’adhésion au respect. Et du respect à la reconnaissance.
Je le dis haut et fort Mr Biya, mérite une reconnaissance éternelle pour son œuvre immense. Hélas, une fois encore, les instruments ne sont pas en notre possession, et les Nobels vont aux Obama pour des guerres préventives, la destruction de l’Afrique et du tiers monde. Toujours l’hégémonie du maître.
LE TEMPS. LA PATIENCE. LA RUSE
De toutes les richesses, le temps est la seule qui surplombe les autres. Qui vit 100 ans aura toujours l’opportunité de rafler la mise sans se battre à un conquérant ayant combattu pendant 30 années.
Sans faire allusion à Bakassi, prenons l’exemple d’un litige foncier au village. Remarquez que les plus grands propriétaires fonciers, sont les plus vieux. Parce que le temps a éliminé les adversaires, et leur a permis d’être seuls détenteurs de la connaissance des limites du voisinage. Comme dans un combat de boxe, le vainqueur est celui qui reste debout. Fin de la parenthèse. Trouvez-y ce que vous voulez. Revenons à la lutte de l’Afrique face à l’Occident.
STOÏCISME
Les Européens, ont interchangés les Hommes qui s’écartaient de leurs desseins. Certains partenaires avérés contre-productifs, quant aux feuilles de routes initiales qu’ils s’étaient pourtant engagés à remplir scrupuleusement, seront tués, évincés, pourchassés et que sais-je encore ? Le temps de ces manœuvres, la pauvreté et le développement augmentent. La dépendance s’accroît au prix de dettes abyssales sur des fonds fictifs indexés sur nos ressources avec la complicité de pantins mis au pouvoir. Un directeur commercial applique la politique de la maison mère. Et nous avons plus de Directeurs commerciaux déguisés que de Présidents-Leaders-Entrepreneurs.
LIRE L’HEURE EN AVALANT DES COULEUVRES
Pour ne pas subir ce triste sort, et donc abandonner son peuple à un de ces aventuriers soumis à l’occident, il a fallu étaler dans la durée son action. Ne rien faire de concret qui puisse dénoncer la moindre ambition d’autonomie, tout en permettant à son peuple de ne pas sombrer dans la paupérisation la plus aboutie. Donner sans concéder, ni livrer. Gagner du temps. Prendre des coups et avaler des couleuvres.
Pour atteindre son objectif, et se débarrasser de la France, Mr Biya paiera de sa personne. Il endossera la paternité de tous les maux et malheurs du Cameroun. Tous. Pendant 30 ans de nombreuses manœuvres souvent programmées de l’extérieur n’avaient pour unique but, que de lui faire perdre son self-control et ainsi déraper dans la maîtrise de l’équilibre de ce pays complexe. Il demeurera stoïque.
Biya, le fils du Cameroun profond, l’esthète épicurien accusé d’aimer le lustre à l’étranger, plutôt que de créer chez lui des conditions globales de prospérités. Il portera le chapeau de toutes les prestations internes ratées. La plupart sous commandite des Occidentaux qui présidentialisaient les membres cupides de son entourage, et incitaient certains leaders à la création de foyers de tensions. Il encaissera sans broncher. Un seul combat à la fois.
BOLLORE OU LA MORSURE DE LA VIPERE
La douce éviction du Corsaire Bolloré, révèle tout le style guerrier du Président Biya. Elle confirme sa victoire à l’usure sur l’occident et envoie un signal fort au peuple, du moins à ceux qui l’ont accompagné. La vipère est calme, mais son venin est éternellement ultra puissant. Les accords Léonins de coopérations signés entre la France et la France pour le compte du Cameroun s’éteindront définitivement avec 2020.
Pour ainsi dire, Mr Biya s’est sacrifié et les a éconduits. Faisant de son crépuscule, le leur. Comme pour dire, après moi, vous ne pourrez plus rien contre les miens. Le Cameroun pourra décider de ses ressources en partenariat Gagnant-gagnant. La première couronne de cette stratégie rayonne comme une couronne de belles promesses : La Société Minière du Cameroun.
DE LA PATIENCE
Dans l’Art de la Guerre version Sun Tzu Bi Mvondo, il est vivement recommandé de combattre un adversaire à la fois et ignorer les attaques de flancs. Qu’elles viennent de cet adversaire ou des siens propres. Sans concessions, point de victoire. Et pas d’omelette sans casser des œufs. L’Aigle Royal a su défendre son butin contre les prédateurs de tous bords.
DU FUTUR PRÉSIDENT ET NON DU SUCCESSEUR
La lutte féroce contre l’occident imposait des choix. De la résilience. Et surtout une capacité à absorber, sans broncher, les coups les plus traîtres : ceux de son camp. Et Mr Biya en a pris, des coups. A se demander par quel extraordinaire il a survécu ?
La réponse réside dans cette onction divine qui l’accompagne. Elle accompagnera ce successeur qu’il saura choisir et qui n’est pas celui que l’on entrevoit, parce qu’il en est ainsi pour ce qui est du Cameroun et de la direction des peuples. Si l’immensité et la projection de l’œuvre entérinent l’option d’être accompagné par des acteurs locaux ou de la Diaspora, il formera comme il le fut un successeur. Un patriote.
LES GARDIENS VOLEURS
A ce stade, nous pouvons affirmer avec aplomb que le choix initial de Mr BIYA de se faire accompagner par des acteurs locaux, plutôt que faire appel à la diaspora, dans son immense tâche s’est révélé être un échec. Tant son entourage était sensible aux sirènes insurrectionnelles des Occidentaux et au goût de l’accaparement de la chose publique. La plus grosse déchirure de Mr Biya a sans doute été de voir, au jour le jour, les piranhas autour de lui dévorer jusqu’à la dernière miette le moindre moucheron tombé à l’eau et destiné aux petits poissons.
Pour réussir, il fallait perdre. Souffrir des trahisons. Se taire. Faire le dos rond sur la crise domestique. Une purge interne aurait causé une baisse de soutiens. Laquelle aurait pu fragiliser les projets du Lion. Parce que, figurez-vous qu’à un moment, votre voleur peut devenir votre meilleur gardien. Voir les siens dépouiller le patrimoine n’a pas été une sinécure. Surtout quand il s’agissait, en toute conscience, de lui faire porter la Chéchia.
L’urgence ou plutôt la priorité était ailleurs. Le temps dont il est maître lui permettra d’apurer le gang de l’intérieur. Parce qu’il aura à cœur de laver son honneur. L’Homme est rusé et a la rancune tenace. N’en doutez point.
LES GRANDS PROJETS FUMEUX
Il a lu l’heure, Mr Biya. Nombre d’entre nous, et à maintes reprises, se sont demandés où étaient donc les grands projets ? Ceux annoncés à grands coups publicitaires lors des campagnes préparés par des officines françaises qui se gargarisaient de ne les voir concrétisés. Pourtant….
DE VICTOIRES EN VICTOIRES
Il fallait cependant nourrir l’esprit. Le subliminal. L’inconscient réconfortant. L’Art de Gouverner par ce verbe, rare qui pouvait tout dire lorsque tout ne peut être dit.
Accepter d’être moqué, pour construire la base la plus importante de la fusée Cameroun : La Liberté totale des obligations bilatérales d’avec la France. Il l’a fait. Ce divorce qui a failli être sabordé par Boko-Haram, vaincu. Par l’Ambazonie, vaincue. Par une opposition, dans un rôle trouble, qui ne rêvait que de rappeler le Maître, et lui redonner les clés de la maison Cameroun, vaincue elle aussi.
L’HEURE DES GRANDS PROJETS
26.12.2020, Exit le prédateur. Comme un gladiateur confiant, de la mise à mort future de son adversaire, le Président Biya crée la Société Nationale des Mines du Cameroun. Et dans la foulée, annoncera sa présence méritée à l’inauguration du stade de Japoma. Ave Caesar Biya.
La société minière du Cameroun signe un grand accomplissement, et donne un signal fort pour l’autonomisation et le rapide développement du Cameroun. Mais, il reste encore à faire.
Dans peu, et je n’ai aucun doute, un tremblement de terre secouera l’appareil d’État Camerounais. Des remaniements. Des Reformes. Des coups de filets. Parce qu’il y’a un bail que le poisson nage dans la nasse et les filets sans le savoir. Parce que le pêcheur est patient. Et le lac immense.
Pour ceux qui comme moi ont un peu voyagé, nous avons vu des pays se développer à une vitesse extraordinaire. Le Cameroun a désormais les armes pour y parvenir. Pour ce faire, un bilan sévère et des réformes drastiques s’imposent. Nous pouvons citer plusieurs pistes.
La réforme de notre politique monétaire ; La réforme de la nationalité (interdire aux binationaux d’accéder aux fonctions régaliennes ; La création d’un ministre de la diaspora ; Une Réforme de l’Education Nationale axée sur les nouvelles technologies, et la recherche ; La réforme de la JUSTICE. Etc.…etc….
Pour conclure, je finirai en transposant cette citation qu’on peut lire sur les murs d’un quartier de Buenos Aires sur Maradona : « Diego, quel que soit ce que tu as fait de ta vie, nous te sommes reconnaissants pour le bonheur que tu as apporté à la nôtre ».
Jeunesse Camerounaise, Mr Biya vous laissera un pays riche, libre, qu’en ferez-vous ?
A vous tous les amis, Bonnes fêtes de fin d’année.
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