PÉNALTY NON SIFFLÉ POUR LE REAL: ZIDANE SE PRONONCE

Quand Hernandez Hernandez est au sifflet, le Real Madrid ne doit s’attendre à aucune faveur. Bien au contraire. Une fois de plus, les madrilènes crient à l’injustice après avoir été sevrés d’un penalty qui aurait pu être sifflé. Primo :la main du défenseur d’Atletico s’est levée, donc était décollée. Secundo : la main du défenseur a bien dévié la trajectoire du ballon. Tertio: Casemiro était derrière le défenseur et le ballon de dirigeait vers lui.

Emilio Butragueño a réagi : « Le penalty ? Il est clair que le ballon touche la main. Cela aurait pu faire match nul à la mi-temps et nous permettre de mieux débuter la seconde période. C’est dommage. Nous avons une nouvelle fois pas eu de chance avec Hernandez Hernandez. »

 » Comme toujours, je ne vais pas m’impliquer dans l’arbitrage. C’est un travail difficile. L’arbitre a vu l’action et a décidé. Nous devons respecter leur décision et c’est tout.  Nous savons que c’est compliqué de toute façon, nous ne pouvons pas entrer dans cela. C’est la responsabilité de l’arbitre et nous devons respecter cela. Cela ne changera pas à la fin. Les joueurs ont vu la main, l’arbitre a décidé de ne pas siffler. « , a déclaré Zinedine Zidane.

 » Ils ont dominé la première mi temps et nous la seconde. C’est plus ou moins mérité. En fin de compte, nous avons eu plus de chances. L’important était de changer le jeu en seconde période, nous l’avons fait. C’est un point, nous sommes vivants, nous continuerons à nous battre. « , a poursuivi le coach de la Maison Blanche.

 » Notre objectif est de continuer, nous savons qu’il reste beaucoup de matchs , beaucoup de points en jeu et nous allons nous battre jusqu’au bout. Les choses peuvent toujours être changées, nous savons que nous pouvons nous améliorer. Le plus important était de faire une deuxième partie différente, il était important de changer cela. « , a encore expliqué Zidane.

 » Rien ne me passe par la tête. Hernández Hernández est l’arbitre et il décide. S’il ne le siffle pas, c’est que pour lui ce n’est pas une faute. Nous ne changerons pas la décision. L’important est ce que nous pouvons contrôler et ce que nous faisons sur le terrain. « , a conclu le technicien français qui n’aime jamais polémiquer sur les erreurs d’arbitrage.