PORTÉ DISPARU ET ANNONCÉ MORT, LE VRAI FAUX ALI BONGO RESSUSCITE
Le chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba a subitement refait surface le lundi 2 mars 2020 après quasiment un mois d’absence injustifiée. Une réapparition qui intervient après que tout le corps social s’est interrogé sur son absence prolongée au sommet de l’Etat de son dirigeant et sur l’omerta qui règne désormais sur ses déplacements à l’international, au mépris de ses obligations envers le peuple gabonais.
Au regard de la façon avec laquelle, elle est menée et dirigée, il semblerait que la République ait un grand besoin d’être rappelée à ses devoirs. Éduquée sur les règles de base de sa tenue dont celle impérative du président de la République de rendre compte de ses activités aux citoyens qu’il administre. Lesquels par le biais du suffrage universel direct ont fait du Chef de l’Etat le premier dépositaire de l’autorité publique. Le président de la République est par conséquent au service de ses concitoyens et non le contraire. Par conséquent, communiquer devient alors une obligation, voire un devoir du président à l’endroit du peuple.
Ali Bongo Ondimba, président de la République, Chef de l’Etat, clé de voûte des institutions s’est absenté peu après le conseil des ministres du 30 janvier 2020 sans qu’aucune communication n’ait été faite sur son absence, les raisons de celle-ci, la destination et le temps de son indisponibilité. Attendu à Addis-Abeba pour le 34ème sommet de l’Union Africaine (UA), le numéro un gabonais s’est fait représenter par le ministre des Affaires étrangères Alain Claude Bilie-By-Nze. Ce qui laisse croire que le déplacement du chef de l’Etat n’était peut-être pas professionnel.
Est-il allé se reposer? Avait-il besoin de faire des contrôles ? Un bilan ou un check-up de santé ? Les Gabonais en viennent à se poser des questions qui restent malheureusement sans réponse. Le Chef de l’Etat est souffrant, c’est un secret de polichinelle. C’est un humain, après avoir surmonté cette difficile épreuve, il est normal et logique qu’il s’absente pour effectuer ses soins aux fins de récupérer de façon optimale pour conduire de façon efficiente, les affaires de l’Etat. Mais pourquoi la présidence ne communique-t-elle pas là-dessus, au lieu de laisser le pays dans la psychose par ces disparitions qui font le lit à toutes les interprétations, y compris les plus funestes ?
Lundi 2 mars après que la presse, l’opinion, la Société civile et l’opposition se sont à nouveau questionnées à juste titre d’ailleurs, sur l’absence d’ Ali Bongo Ondimba, la communication présidentielle qui s’est manifestement abonnée dans la communication épidermique et à réaction, s’est fendue, comme par hasard, d’un communiqué annonçant une séance de travail à laquelle aurait participé le président de la République, sans doute piqué par l’évocation de ce qui selon certaines indiscrétions constitue, la hantise du palais: L’article 13 de la Constitution et la vacance de pouvoir.
« Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Ali Bongo Ondimba, a reçu ce jour au palais présidentiel le Premier Ministre, Chef du gouvernement Monsieur Julien Nkoghé Bekalé qu’accompagnaient messieurs Lambert Noël Matha, Alain Claude Bilie-by-Nze, Léon Armel Bounda Balonzi, et Max Limoukou respectivement Ministres de l’intérieur ; des Affaires Étrangères ; des Transports ; et de la Santé. Était également présente à cette audience Madame Rose Christiane Ossouka Raponda, Ministre de la Défense nationale », pouvait-on lire dans le communiqué de la presse présidentielle.
Dans cette volonté de Jessye Ella Ekogha, porte-parole de la Présidence, et compagnie de jouer les pare-feux contre ceux qui par leurs interrogations rappellent le fonctionnement normal d’une République, visiblement « par terre », il est important aux dires de plusieurs observateurs de la politique gabonaise, de comprendre qu’il ne suffit pas de répondre, tel un berger à la bergère, par un article de presse pour rassurer la population sur les absences répétées du Chef de l’Etat. Imaginons la polémique qu’une telle situation aurait causée sous d’autres cieux.
Non messieurs, la République n’est pas une blague dont il suffit pour la mettre en branle, de coucher quelques lignes qui font office de réponse aux questions existentielles que légitimement, les Gabonais se posent. La République a ceci de particulier, qu’elle affirme le droit et impose le devoir. Le devoir d’informer la population sur la tenue des affaires de l’Etat. Le devoir de la respecter en adoptant une attitude transparente parce que investi de l’insigne honneur de la mener à bon port. A moins qu’on ne se sente pas digne de la représenter, capable de poursuivre sa mission encore moins, à la hauteur de la diriger. Dans ce cas, le peuple prendra acte et agira, en conséquence.
Source : Gabonmediatime
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CE TYPE N’EST PAS ALI BONGO NE CÉDEZ PAS AUX MENSONGES DU GOUVERNEMENT, DE SYLVIA BONGO ALIAS LA VEUVE NOIRE ET DE SON FILS ADOPTIF NOUREDDINE.
ADMETTONS QUE CE SOSIE SOIT ALI BONGO, POURQUOI N’EST-IL PAS ALLÉ À L’OUVERTURE DE LA PREMIÈRE SESSION DU SÉNAT POUR L’ANNÉE 2020 ALORS QU’IL EST SUR LE TERRITOIRE ET DIT-ON EN BONNE SANTÉ ?
POURQUOI SYLVIA BONGO, SON FILS ADOPTIF NOUREDDINE ET LE GOUVERNEMENT UTILISENT-ILS LES MÉDIAS PUBLICS FINANCÉS PAR L’ARGENT DU CONTRIBUABLE GABONAIS POUR PROPAGER DES INTOX SUR LA SUPPOSÉE FORME D’ALI BONGO ?
MAIS POURQUOI LE VRAI/ALI BONGO NE PARLE T-IL TOUJOURS PAS AUX MÉDIAS ET AUX GABONAIS ?
NOUREDDINE ET SYLVIA BONGO ALIAS LA VEUVE NOIRE VEULENT FAIRE CROIRE AUX GABONAIS QUE C’EST ALI BONGO QUI DIRIGE LE PAYS POUR JUSTIFIER LES NOMINATIONS À VENIR LORS DU PROCHAIN VRAI/FAUX CONSEIL DES MINISTRES DIRIGÉ PAR NOUREDDINE ET SA MÈRE ADOPTIVE SYLVIA BONGO.
JE PERSISTE ET JE SIGNE: ALI BONGO NE SE REMETTRA JAMAIS DE L’AVC QU’IL A EU À RYAD EN ARABIE SAOUDITE. QUELQUE SOIT LES MENSONGES QUE SYLVIA BONGO ET NOUREDDINE VONT FAIRE, ILS SONT ENTRAIN DE CHERCHER LES VOIES ET MOYENS POUR REMETTRE LE POUVOIR À NOUREDDINE, AINSI LE TOUR SERA JOUÉ.
CE CIRQUE VA ENCORE DURER COMBIEN DE TEMPS ?
Adjatys Thibault