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RÉVÉLATIONS SUR LA GRAVE MALADIE D’AHMED BAKAYOKO

« Ahmed Bakayoko a été empoisonné. « , avait lancé en exclusivité sur la toile    » la Guêpe « ,  une activiste pro- Soro Guillaume. À en croire cette dernière, le Premier ministre et bras armé  du chef d’Etat Alassane Ouattara, a frôlé la mort . Des ennemis tapis dans l’ombre ont failli en finir avec lui. Ces derniers ont réussi à lui faire avaler du poisson sans qu’il ne s’en aperçoive au cours d’une cérémonie festive.

Toujours selon les propos de la  » Guêpe « , c’est pour cette raison que le filleul de la première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, Hamed Bakayoko s’est précipité sur Paris avec son épouse, où il a fait deux semaines. Hamed Bakayoko aurait d’abord reçu des soins dans une clinique de la capitale Abidjanaise avant d’être évacué en France. Selon elle, le poison qui avait déjà commencé à le ronger lui a fait perdre  15 kg.

Sûre de ses sources , cette cyber activiste fait savoir qu’avant qu’il ne se rende compte  qu’il souffrait bien d’un empoisonnent, le Premier ministre dans sa résidence à Assinie Mafia, une ville de la région du sud-comoé avait eu un grand malaise, un vertige qui aurait provoqué son renversement suivi d’une hypertension.

C’est donc jeudi 18 février 2021, à 14h42 GMT à partir de la base aérienne du GATL, à bord du Grumman 5, immatriculé TU-VAE, que le Premier ministre ivoirien a été évacué de toute urgence en France. Jusqu’à présent, le gouvernement est avare en communication et le mal dont souffre le Premier ministre est gardé secret.

 » Hamed Bakayoko est malade, sérieusement même comme je l’avais déjà indiqué. Un mal pernicieux le ronge silencieusement. Ses proches avaient commencé à s’inquiéter. Il s’affaiblissait à vue d’œil, ses cheveux commençaient à tomber, son visage devenait émacié, ses nuits étaient difficiles et il se plaignait de problèmes respiratoires. », indique  Chris Yapi, un  activiste ivoirien, très introduit dans les réseaux.

« À un moment donné, ils avaient cru à une contamination à la Covid-19. Mais, les résultats de ses tests sont revenus négatifs. Et suite à plusieurs malaises, le Premier ministre a décidé de se rendre en France pour faire un bilan de santé pour déterminer la nature du mal qui le rongeait insidieusement. », poursuit-il.

 » Les premiers examens n’ont pas révélé une cause précise de l’infection qui affaiblissait leur patient. Ils se sont mis à chercher l’origine de cette maladie du côté du train de vie que ce dernier menait. Tout le monde en Côte d’Ivoire sait que cet homme est un adepte notoire de la luxure : les soirées à n’en point finir, l’alcool, la drogue, les prostituées et tout le reste. Et très rapidement, les médecins ont conclu qu’il avait été mis en contact avec un poison dont l’origine demeure indéterminée. », révèle  Chris Yapi.

Sur la même lancée, il rappelle « qu’une autre personnalité célèbre, en l’occurrence le Colonel Wattao, avait été tué par empoisonnement. Ce sont les mêmes sources qui nous ont alerté sur l’état de santé inquiétant du Premier ministre. D’ailleurs, Hamed Bakayoko lui-même avait déclaré à ses très proches, qu’il pensait avoir échappé à un empoisonnement. »

« Pour mes sources, Hamed Bakayoko a signé son arrêt de mort, quand il a commencé à lorgner le fauteuil présidentiel et manifestait de plus en plus ouvertement son intention de s’y installer. Une personne était particulièrement mécontente de cette ambition qu’il trouvait démesurée : Téné Birahima Ouattara dit Photocopie. Et pour cause : lui aussi se voit bien calife à place du calife. Téné Birahima Ouattara est le grand patron des services secrets ivoiriens. Il est en contact avec les autres services étrangers, notamment israéliens. Je les avais repérés pour vous dans leur planque de l’hôtel du Golf. Et comme chacun sait, dans le milieu du renseignement, on peut se rendre de menus services », poursuit l’activiste.

C’est un secret de polichinelle :  » le point faible d’Hamed Bakayoko est qu’il aime trop faire la fête avec de belles femmes et ça, Photocopie le sait. » La Guêpe et Chris Yapi sont sur la même longueur d’onde. Comme presque tout le monde. Pas besoin de fusil pour atteindre le robuste Ahmed Bakayoko.

« Les services secrets des grandes puissances ont élaboré des poisons qui ne tuent pas immédiatement, mais installent plutôt une maladie mortelle dans le corps de la victime. Une fois ingurgité, ce poison ronge lentement la cible de l’intérieur et finit par causer sa mort plusieurs mois après. Et le moyen le plus efficace de les administrer, reste la boisson ou la nourriture. Il semble évident qu’au cours d’une soirée arrosée, le Premier ministre ait été empoisonné avec ce type de produit qui lui a provoqué la maladie dont il souffre actuellement et qui a été découverte plus tard par ses médecins à Paris. », selon les démonstrations de Chris Yapi.

Sentence  : « Hamed Bakayoko atteint d’un cancer. Les médecins lui donnent un pronostic vital de six mois à un an. Hambak sait donc aujourd’hui qu’il est sérieusement malade. Il sait aussi que c’est pour la course au pouvoir qu’il a été frappé. Il pensait que l’on essayerait de s’en prendre à lui au cours d’un affrontement armée et il s’y était préparé. Mais, son adversaire a choisi la voie lâche du poison.Il suit désormais un protocole thérapeutique strict et particulièrement contraignant. Il devra dorénavant se rendre régulièrement à Paris pour ses soins. Il sait qu’il vient d’engager une course contre la montre avec ce poison qui peut le tuer à tout moment. « , conclut-il.

Le premier ministre ivoirien Hamed Bakayoko a quitté Abidjan pour la France, jeudi 18 février, par « un vol spécial » pour raisons de santé, a finalement confirmé   l’AFP de source proche de son entourage. « Il est arrivé (en France) accompagné de son épouse pour un rendez-vous médical », a indiqué cette source qui a affirmé qu’il n’était « ni alité, ni sur un brancard ». Cette information n’avait pas été confirmée de source officielle jeudi soir. Ce n’est qu’après que le gouvernement a pondu un petit communiqué laconique.

Quand les activistes ivoiriens avaient lancé les premiers l’alerte de la maladie du chef de gouvernement ivoirien, on bottait en touche, estimant que ce n’était qu’un ramassis de rumeurs. De la même manière, ils avaient évoqué l’évacuation de l’ex-Premier ministre Amadou Gon Koulibali. La suite, on la connaît par coeur. Et si tout allait bien pour Ahmed Bakayoko, le gouvernement allait évoquer son bulletin de santé et n’allait pas verrouillé la communication au point où, même la presse française…

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