SAMUEL ETO’O DESCEND VALSERO ET CERTAINS JOURNALISTES CAMEROUNAIS EN DIRECT
Dans une interview accordée à la chaîne de télévision Canal 2 Internationale, Samuel Eto’o a détaillé le contrat avec One All Sport dévoilé en direct: Durée : 03 ans; montant versé par an : 1 milliard de Fcfa soit 50% de plus que Le Coq Sportif;
dotation en équipements aux équipes nationales : à hauteur de 650 Millions Fcfa (1 million d’€); un bus de standing VIP à livrer lors de la 2e année de contrat (2023).
« Un audit a été fait, et le comité exécutif m’a donné mandat de poursuivre les responsables…Il est important que les gens sachent que gérer la chose publique n’est pas gérer ses biens personnels », explique Samuel Eto’o.
« Certaines personnes ont dit que je me refais une santé financière à la Fécafoot. Mais ils oublient que quand ils ont des difficultés c’est vers moi qu’ils se retournent. Il y a un chanteur rappeur qui a vécu à mes frais avec plus de 5000 euros pendant 2 ans. », tacle par derrière de Samuel Eto’o sur l’artiste Valsero sans le citer nommément.
« j’ai dit que j’avais un programme sur 4 ans, à 11 mois, nous sommes déjà à 62% de taux de réalisation ».
« Même les aveugles sont en train d’ouvrir les yeux avec ce que nous sommes en train de faire ».
Concernant l’arrestation de l’ancien secrétaire général de la FECAFOOT et transféré à la prison centrale de Yaoundé, Samuel Eto’o rejette sa responsabilité. « Je tiens à rappeler ici que j’ai personnellement recommandé Parfait Siki au président Happi parce que je croyais en ses compétences. Celui qui propose Parfait Siki à Dieudonné Happi ( ancien président comité normalisation Fécafoot) c’est moi. Je connais ses qualités de journaliste(…) J’adore la critique, car elle me perme d’être meilleur ».
Samuel Eto’o fustige certains patrons de presse qui ont pris fait et cause pour Parfait Siki. « Je vois des patrons de presse qui n’ont pas payé les salaires de leurs journalistes depuis deux ans me donner des leçons. Mais si vous aimez la justice, payez les salaires de vos employés. C’est la moindre des choses ».
Le président de la FECAFOOT en veut particulièrement aux patrons de la presse qui ne paient pas des salaires de leurs journalistes, mais prétendent les défendre. « Certains patrons de presse qui n’arrivent pas à payer les salaires des employés depuis 2ans osent me donner des leçons. Ils écrivent des grands titres. Mais monsieur arrêtez (…) Payez les salaires de vos employés(…)
Je vois des patrons de presse qui n’ont pas payé les salaires de leurs journalistes depuis deux ans me donner des leçons. Mais si vous aimez la justice, payez les salaires de vos employés. C’est la moindre des choses ».