SARKOZY ET SES COMPLICES ONT FINANCÉ LES TERRORISTES ET INSTALLÉ IBK POUR PILLER LES RESSOURCES DU MALI
Malgré des incidents et fraudes enregistrés , le président sortant du Mali Ibrahim Boubacar Keïta a été réélu pour un second mandat de cinq ans, avec 67,17% des suffrages, selon les résultats officiels. Un score impressionnant alors que durant les
cinq ans de son premier mandat, cet « IBK » aura usé cinq Premiers ministres sans pour autant régler les problèmes de son pays dont l’insécurité .
En mars 2012, Amadou Toumani Touré alias « ATT » est renversé par des militaires qui l’accusaient d’incurie face à la rébellion dans le nord du pays, un putsch qui précipite la déroute de l’armée et la prise de contrôle de cette région par des groupes jihadistes, alliés un temps aux rebelles avant de les supplanter.
A l’élection présidentielle de 2013, après l’intervention internationale lancée à l’initiative de la France contre les jihadistes, Ibrahim Boubacar Keïta, considéré comme un pion de la France, accède à la magistrature suprême. Dans la manoeuvre des coulisses , il y avait l’éternel chef bandit Nicolas Sarkozy, le filou Fillon, le vieux roublard Juppé, le porteur de sac Baroin et le mafieux général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali.
Les terroristes MNLA et leurs homologues jihadistes Ansardine Aqmi ont commencé à envahir le Mali le 17 janvier 2012. Comment un groupuscule d’individus sans formation ni moyens logistiques ont-ils réussi à envahir avec une facilité déconcertante un grand pays comme le Mali qui fait 1 241 238 kilomètres carrés , soit deux fois la superficie de la France ? Qui leur a fourni l’arsenal militaire et les énormes moyens financiers?
La stratégie mise en place par le belliqueux Sarkozy a été de supprimer Kadhafi et d’utiliser l’arsenal militaire de l’ancien régime pour organiser la contre révolution jihadiste dans les pays sous occupation militaire française.
Les USA et la France se sont appuyés sur les salafistes pour supprimer Kadhafi.
Ces combattants vont servir à Sarkozy pour alimenter les attaques terroristes contre le Mali. L’arsenal militaire de Kadhafi a donc été mis à la disposition de ces mêmes djihadistes pour détruire le Mali. Mohamed Ag Najem, ex colonel de Kadhafi, avait retourné la veste pour se mettre au service de la France pour devenir le chef militaire du Mouvement national de libération de l’Azawad. Rejoint par plusieurs officiers maliens déserteurs, il prit la tête du MNLA et lança des attaques sur Ménaka, Aguel’hoc et Tessalit les 17 et 18 janvier 20122. On le considère comme un des leaders de la nouvelle rébellion touarègue et l’ennemi public numéro un au Mali.
Les 17 et 21 mai 2014, le colonel traître est à la tête des forces du MNLA lors des deuxième et troisième batailles de Kidal qui voient la victoire des forces rebelles contre l’armée malienne. Du 26 au 28 octobre, les secrétaires-généraux et officiers du MNLA, du HCUAet du MAA se réunissent à Anéfis et le 29 ils annoncent la mise en place d’une coordination militaire regroupant les forces militaires des trois mouvements. Elle se compose de dix officiers et Mohamed Ag Najem en prend le commandement.
« Le MNLA, lui, a pris ses quartiers dans les collines autour de Zakake, au nord de Kidal, et revendique un millier d’éléments. Il y a là d’anciens soldats de l’armée libyenne revenus au pays et emmenés par Mohamed Ag Najem, ex-colonel de Kadhafi ; ils seraient un peu moins de 400. Dans le nord du Mali, ils ont retrouvé les hommes d’Ag Bahanga. Leurs armes sont des fusils d’assaut, des missiles (sol-sol et sol-air), des lance-roquettes multiples BM-21 (« orgues de Saline ») et des mortiers, tout droit venus des arsenaux libyens. « Les rebelles, fait-on remarquer à Bamako, sont presque mieux équipés que nos soldats. Pas étonnant qu’il y ait des désertions » , lit-on dans une enquête minutieuse publiée dans Jeune Afrique.
Bien plus, il y a l’argent des otages que la France a remis à AQMI et à Ansardine, des rançons qui cachent un financement déguisé du djihadisme , comme le révèle le très sérieux New York Times : « C’est l’Europe qui finance une bonne partie des opérations d’Al-Qaïda ». Le quotidien américain révèle que 105 millions de dollars (93 millions d’euros) sur le montant total des rançons , ont été remiss aux diverses factions du groupe en échange de la libération de ressortissants enlevés. En tête de peloton la France avec 58 millions de dollars (43 millions d’euros) de versements depuis 2008.
Le journal satirique français Le Canard Enchaîné, dans un article intitulé » Notre ami du Qatar finance les islamistes du Mali » avait également révélé les financements des groupes islamofascistes, AQMI, MNLA, Ansardine qui ont envahi le Mali, par le Qatar. Le même journal mettait en évidence les intérêts partagés entre le Qatar et une des plus grande entreprise pétrolière française, Total. « des négociations discrètes (qui) ont déjà débuté avec Total », le géant pétrolier français, pour une exploitation prochaine du pétrole de la région ! » Moins d’une semaine seulement après son entrée en fonction, Emmanuel Macron avait déjà sauté dans l’avion pour se rendre au Mali. Et IBK continue sa mission de sous-préfet.
