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SERENA WILLIAMS REND HOMMAGE AUX LIONS INDOMPTABLES INDOMPTABLES

Même si Serena veut rester maîtresse des horloges et n’a pas annoncé officiellement sa retraite, elle a très vraisemblablement tiré sa révérence sur le court, théâtre de son premier sacre en Grand Chelem en 1999, à 17 ans. La boucle est bouclée. Clap de fin pour celle qui, le 26 septembre, fêtera son 41e anniversaire.

Après trois heures et cinq minutes de jeu, l’Australienne a battu la sextuple ancienne championne de l’US Open 7-5, 6-7(4), 6-1. Contrairement aux deux premiers matchs, où le service de Williams lui avait ouvert la voie, il a été constamment sous pression contre Tomljanovic.

Et moment émouvant, Serena Williams a rendu un vibrant hommage à Venus qui a permis qu’elle devienne une vraie légende vivante. Les yeux pleins de larmes de Serena et de Venus se sont croisés. « Je ne serais pas Serena s’il n’y avait pas eu de Venus. Donc, merci Venus. Elle est la seule raison pour laquelle Serena Williams a existé », a déclaré Serena.

On se rappelle qu’au plus fort de la polémique des maillots démembrés des Lions Indomptables, Serena Williams avait enfilé une tunique aux couleurs du Cameroun. Un geste salué et qui reste gravé dans le coeur des Camerounais.

« Alors que Serena Willams a annoncé sa retraite; rendons lui hommage. Nous sommes en 2002, le monde entier a les yeux rivés vers la coupe du monde de football qui se déroule en Corée du Sud et au Japon. Parallèlement à ce grand événement sportif d’ampleur mondial, se dispute aussi le tournoi Roland Garros.

Serena Williams, jeune joueuse de tennis âgée de 20 ans habillée par l’équipementier Puma comme l’équipe nationale de football du Cameroun , décide à la surprise générale d’apporter son soutien aux lions indomptables du Cameroun.

Alors classée n°3 mondiale, Serena Williams décide de s’habiller en portant le même modèle du maillot controversé que portait les lions indomptables durant la CAN 2002.
Cela lui portera chance. Elle remporte cette année-là son premier titre à Roland Garros. », raconte Arol Ketch.

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