Les chercheurs fréquentant les archives publiques françaises, dont le Service historique de la Défense (SHD), se voient depuis peu dans l’impossibilité de consulter de très nombreux documents d’après 1940 accessibles selon la loi : tous ceux qui furent tamponnés «secret» ou «très secret» lors de leur production, durant les répressions coloniales à Madagascar, en Indochine […]Continuer la lecture