Parmi les rares survivants du coup d’État du 6 avril 1984, il y avait le capitaine Guérandi Mbara Moulongo, un instructeur de l’armée camerounaise. Il avait été caché pendant un mois à Yaoundé par une compatriote bamiléké, échappant ainsi au massacre des «nordistes» que les militaires loyalistes à Paul Biya avaient exécuté à Yaoundé. […]Continuer la lecture
Anti-intellectualisme, anti-modernisme, anti- progressisme , anti- fédéralisme, anti-bilinguisme, anti-anglophonisme, anti- occidentalisme, antipanafricanisme, anti- » mbenguisme » , les Camerounais francophones de l’extrême droite , adeptes de l’esclavagisme et du biyaïsme, constituent un goulot d’étranglement et un suicide collectif pour la République. C’est un Continuer la lecture