Un sous-secrétaire d’Etat américain m’a téléphoné et m’a parlé pendant au moins une heure. Il me disait que si je partais du pouvoir, je ne serais pas poursuivi, je pourrais m’exiler avec soixante-quatre personnes de mon entourage et que tous seraient pris en charge. Quant à moi, je serais logé, nourri et blanchi, j’aurais un […]Continuer la lecture