« Que les partisans de Laurent Gbagbo souhaitent qu’il soit là parce que c’est leur fils et leur chef, c’est une très bonne chose et c’est normal. Quand j’étais en exil, mes partisans aussi souhaitaient que je rentre et que je participe au processus. Cela ne voulait pas dire qu’il n’y avait pas de réconciliation. […]Continuer la lecture