Il manque une page pour boucler le journal Puis Njawé me fit venir à Douala, une petite année avant sa disparition. Il voulait pouvoir compter sur ma contribution pour refaire son journal en termes de contenus et d’esthétique. Et il m’avoua rêver de plus encore, en matière d’expansion de son entreprise éditoriale. Nous passâmes ce […]Continuer la lecture