L’organisme de recherche fait en effet l’objet d’une enquête judiciaire sur les conditions dans lesquelles de dangereux virus ont pu arriver en son sein en octobre 2015, de Corée du Sud. «Manipulation et transport clandestin d’échantillons de virus dangereux, perte de tubes contenant des bactéries potentiellement mortelles, ordinateurs volés pouvant stocker des données confidentielles à […]Continuer la lecture