UN AVOCAT AFRICAIN PORTE PLAINTE CONTRE ISRAËL ET L’ITALIE POUR L’ASSASSINAT DE JÉSUS CHRIST
L’année dernière, un homme est mort par pendaison en jouant le rôle de Judas lors d’une présentation théâtrale relative a la mort de Jésus Christ au Mexique. La scène tragique s’était deroulée dans le district de barranquillas_Tancìtaro. Le jeune homme appelé Michel ange jouait le rôle de Judas, mais voulait simuler voulait simuler sa mort par pendaison après sa trahison. Mais après avoir fixé la corde suspendue à l’arbre autour de son cou, il avait perdu le contrôle, avait glissé et était mort. La police avait conclu que c’était un accident.
Cette fois-ci, c’est un avocat kenyan qui demande la reconstitution de la crucifixion de Jésus Christ et la condamnation des coupables. Il a d’ailleurs déposé une requête auprès de la Cour Internationale de Justice de La Haye.
Dola Indidis, ancien porte-parole du pouvoir judiciaire du Kenya, a décidé de se constituer pour donner à Jésus Christ le procès équitable. L’avocat kenyan poursuit en justice « les assassins » du Christ devant la Cour Internationale de Justice au nom de l’équité. Au banc des accusés l’Italie, Israël, Ponce Pilate et l’empereur Tibère, les responsables du crime du fils de Marie conçu du Saint-Esprit, selon les écrits bibliques.
Pour l’avocat kényan, le procès de Jésus Christ et sa crucifixion sont injustes. Il explique les raisons dans une vidéo mise en ligne sur le site d’informations kényan Citizen News. Il soutient que Jésus a eu un procès inique et que les coupables de sa mort ne sont rien moins que l’Italie, Israël, Ponce Pilate et l’empereur Tibère qui méritent d’être condamnés.
«La preuve aujourd’hui est inscrite dans la Bible, et vous ne pouvez pas discréditer la Bible. J’ai déposé le dossier parce que c’est mon devoir de défendre la dignité de Jésus et je vais devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) pour obtenir réparation pour l’homme de Nazareth. Son procès sélectif et corrompu a violé ses droits humains au terme d’une procédure judiciaire déficiente, par abus de partialité bureaucratique et de préjugés » a déclaré l’avocat Indidis.
Pour lui, même si Ponce Pilate, préfet de Judée à cette époque et l’empereur Tibère sont morts depuis deux millénaires, l’Italie, État qu’ils représentaient, est bien vivante et doit être tenue responsable de leurs actes.
Indidis déclare que Jésus a été victime d’un procès « discriminant et malveillant qui a bafoué ses droits humains. Certains de ceux qui étaient présents lui crachèrent au visage, l’ont frappé à coups de poing, giflé, se moquaient de lui, et déclaraient qu’il devait mourir », insiste-t-il. Alors, avec toute la panoplie des instruments technologiques que l’homme dispose aujourd’hui, pourquoi ne pas refaire le procès de Jésus Christ?
La difficulté pour l’avocat kenyan de Jésus Christ sera de retrouver son corps pour faire une autopsie. Pour les témoins, il faudrait qu’il aille les chercher en enfer ou au paradis.
