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UN PROCHE DE CABRAL LIBII DANS LES FILETS DE LA JUSTICE POUR LA MORT DE MIRABELLE

L’information est révélée par nos confrères,  d’Afrik-Inform, Julien Bapes, cité dans le scandale de la disparition brutale de Mirabelle Christelle Lingom,  est aux arrêts. « En cavale depuis le début de cette affaire, Julien Bapes, le principal personnage indexé dans l’affaire Mirabelle a été mis aux arrêts ce mardi 30 août 2022 », révèle le journal.

Dans le cadre de l’enquête préliminaire inhérente à l’affaire Mirabelle Lingom contre certains membres du PCRN (Clotaire Nguedjo, Jean Louis Batoum, Bapes, Poutine le Lion), la brigade de recherche de Bonanjo à Douala avait ouvert une enquête depuis août 2021 pour faire la lumière. Mais, Bapes avait préféré prendre les buissons.

L’homme en cavale  recherché depuis un an par les forces de sécurité  a été arrêté par le frère de la défunte, Paul René Bikop. Le fugitif  est désormais entre les mains du commissariat central numéro 2 de Logbaba, après un séjour de quelques heures au 7ème.

À titre de rappel,Christelle Mirabelle Lingom, orpheline, menait tranquillement sa petite vie dans l’anonymat le plus total ; jusqu’au jour où sa photo va apparaître sur les réseaux sociaux. Elle est indexée par Julien Bapes Bapes, Jean Louis Batoum, Fritz Messey Messey, Clotaire Nguedjo ; membres du parti PCRN (avec pour Leader Cabral Libii siégeant au parlement du Cameroun) comme étant la jeune fille présente dans une vidéo de sextape de l’activiste camerounais Paul Chouta.

En effet, tout porte à croire qu’au plus fort de l’affaire Malicka – Camus Mimb, ces membres de ce parti politique PCRN de Cabral Libii, ont monté cette affaire cousue de fil blanc pour essayer de détourner l’opinion du sujet phare. Les dénommés Julien Bapes Bapes, Jean Louis Batoum, Fritz Messey Messey, Clotaire Nguedjo vont orchestrer une cabale mensongère avec le nom de Mirabelle sur les réseaux sociaux au point d’inventer une interview fictive.

Ils ont volontairement traîné le nom de cette jeune camerounaise de 25 ans dans la boue ; ils l’ont diabolisée, humiliée sans aucun remord. Quelques jours plus tard, elle a été violée par des individus non identifiés qui lui ont clairement fait savoir qu’il s’agissait «de la fille dont on parlait sur les réseaux sociaux ». Sans l’intervention des riverains, elle se serait suicidée ce jour-là.

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