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URGENT ! UN ENFANT DE 10 ANS RETROUVÉ MORT DANS UN AVION EN PROVENANCE DE CÔTE D’IVOIRE

Les Africains sont prêts à tout pour quitter leur pays. Malgré qu’Alassane Ouattara se félicite de ses miracles avec des chiffres pompeux de croissance, les Ivoiriens continuent à fuir leur pays, en prenant tous les risques, au péril de leur vie.Le corps sans vie d’un enfant retrouvé dans le train d’atterrissage d’un avion de ligne en provenance d’Abidjan. L’enfant aurait «une dizaine d’années», selon l’Agence France-Presse.Il a été retrouvé mercredi matin à l’aéroport de Roissy, près de Paris, dans le train d’atterrissage d’un Boeing 777 d’Air France en provenance d’Abidjan, en Côte d’Ivoire. La compagnie aérienne confirme la mort d’un «passage clandestin» sans préciser son âge, et déplore un «drame humain». L’avion, un Boeing 777, avait décollé d’Abidjan mardi soir et s’est posé peu après 6h à Paris. Le corps a été découvert ce mercredi à 6 h 40. Dans un communiqué, la compagnie aérienne, qui confirme la mort d’un « passager clandestin »

Plusieurs questions restent sans réponses : comment un enfant d’à peine 10 ans a-t-il pu traverser tous les contrôles de sécurité à l’aéroport d’Abidjan ? Qui était son accompagnateur? N’y-a-t-il pas de contrôle de l’appareil avant son décollage ? Chez qui allait-il? Qui l’attendait à l’aéroport ?

 

De toute évidence, il y a bien un réseau de complices dans ce drame. Ces gens qui ont permis à un enfant de s’embarquer dans le train d’atterrissage dans de telles  conditions météorologiques, avaient-ils oublié que c’est la période d’hiver et de grand froid en France ? Il convient de préciser que les températures descendent à -50°C entre 9.000 et 10.000 mètres, altitude à laquelle volent les avions de ligne. Les logements de train d’atterrissage ne sont ni chauffés, ni pressurisés.

Ce drame survient après seulement quelques mois de la condamnation d’un Ivoirien de 40 ans aà la mi-novembre 2019 à Paris à six ans de prison ferme pour avoir organisé le périple de migrants africains vers l’Europe. Deux au moins avaient péri en Méditerranée en mai 2017.

Cet homme, entré lui-même clandestinement en France en janvier 2016 via cette même route, avait été dénoncé aux autorités judiciaires françaises par le père d’un des deux migrants décédés. Il avait porté plainte.

Son fils avait disparu avec environ 170 personnes dans le naufrage de leur embarcation le 7 ou le 8 mai 2017. Sept personnes seulement  avaient survécu. Une vraie saignée des forces vives de l’Afrique.

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