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VOICI COMMENT LE NOIR A ÉTÉ TRANSFORMÉ EN DIABLE DANS LES LIVRES SAINTS

Les Noirs de l’époque pharaonique sont à l’origine de la religion juive, en la personne d’Akhenaton.
Pendant des siècles les juifs ont sciemment dissimulé l’origine négro-africaine de leur spiritualité(alchimie, étoile de David, 10 commandements, spiritualité etc….) et pour ce faire, il fallait jeter l’anathème sur la race Noire ; le voilà le véritable secret des juifs tel qu’il transparaît dans leurs propres écrits (Les secrets de l’exode de Messod et Roger Sabbah, et Le secret des juifs, de Roger Sabbah). Nous affirmons avec force que la Torah des juifs n’est pas l’œuvre de Moïse « Donnez-nous rien qu’un fragment de manuscrit hébreu d’époque attribuable à Moïse ! ». Source : pierre-nillon.com.

Au 1e siècle, l’historien latin Tacite (Histoire, liv. V, chap. V) nous apprend ceci du peuple juif : « Entre eux, ils sont d’une loyauté à toute épreuve, d’une charité toujours secourable, mais contre le reste des hommes, haine et hostilité. Ne se mettant pas à table avec des étrangers et ne partageant pas leur lit, cette nation, d’une licence de mœurs effrénée, s’abstient de tout commerce avec des femmes étrangères ». On ne peut pas taxer cet historien d’antisémitisme, dans la mesure où les propres documents juifs confirment cette haine et cette discrimination à l’égard des non-juifs.

Selon le chercheur David Icke (Le plus grand secret, tome 1) le Talmud dont la rédaction remonte au 2e siècle, et faisant autorité chez les juifs en matière de juridiction est sans aucun doute le document le plus raciste sur terre, comme le prouvent ces quelques exemples tirés de ce dernier :
Seuls les juifs sont humains, les non-juifs ne sont pas humains mais du bétail (Kerithut 6b, Jebhammoth 61)
Les non-juifs ont été créés pour servir les juifs en tant qu’esclaves (Midrasch Talpioth 225)
La relation sexuelle avec des non-juifs est comme la relation sexuelle avec des animaux (Kethuboth 3b)

Les non-juifs doivent être évités encore plus que les cochons malades (Orach Chaiim 57, 6a)
Le taux de natalité des non-juifs doit être réprimé massivement (Zohar 11, 4b)
Tout comme vous remplacez les vaches et les ânes, vous remplacerez les non-juifs (Lore Dea 377, 1)

Nous savons que les juifs Khazars dans l’antiquité (habirou pour les égyptiens, hyksos pour les grecs), après quelques infiltrations en Afrique, plus précisément en Egypte vers 2000 av. J.C, envahirent par la suite ce pays. De 1720 à 1580 av. J.C, ils dépossédèrent les Noirs égyptiens de leur terre, mais heureusement ces derniers les chassèrent sous le règne du pharaon Ahmès.

Le malheur du peuple Noir résulte de l’image négative que les caucasiens en ont, mais le plus grave c’est que beaucoup de Noirs accréditent volontairement ou involontairement par leur comportement ces clichés dégradants d’eux-mêmes. Ce qui suit vous démontrera textes à l’appui qu’en rédigeant la Torah les juifs sont à l’origine, et donc les responsables directs de l’image négative du Noir dans l’imaginaire humain.

En effet, avant la rédaction de la Torah en 398 av. J.C, sous la direction du scribe et sacrificateur Esdras, c’est en vain que l’on chercherait un seul texte dénigrant le peuple Noir, le monde caucasien en avait une toute autre image. Au 8e siècle av. J.C, Homère (Iliade I, 423 à 425) le père de la littérature grecque nous dit ceci : « Zeus est parti hier du côté de l’Océan prendre part à un banquet chez les Noirs sans reproche, et tous les dieux l’ont suivi. Dans douze jours, il retournera dans l’Olympe ». Toujours selon Homère (Odyssée XI, 522), Ulysse pleurant Triptolème fait allusion à la beauté divine du peuple Noir, notamment de leur roi Memnon en disant : « Je n’ai vu de plus beau que le divin Memnon ».

Mais au 4e siècle av. J.C, avec la rédaction de la Torah les choses changent radicalement la couleur Noire qui est pourtant la couleur naturelle des premiers hommes, et considérée jusque-là comme une bénédiction.
Dans le Talmud (Sanhedrin) il est dit ceci : « Le corbeau, le chien et le Noir (le koushi) seront noirs à cause de leurs méfaits ». Le rabbin Maïmonide dans un ouvrage considéré par les juifs comme le plus grand en matière de philosophie religieuse juive (Le Guide des égarés, livre III, chapitre 51) nous dit ceci du peuple Noir : « Leur nature est semblable à celle des animaux muets, et selon mon opinion, il n’atteignent pas au rang d’êtres humains ; parmi les choses existantes, ils sont inférieurs à l’homme mais supérieurs au singe car ils possèdent dans une plus grande mesure que le singe l’image et la ressemblance de l’homme ».

L’idée d’identifier les africains aux descendants maudits de Cham, condamnés à jamais à n’être que des esclaves, soit le fait de théologiens musulmans a partir de textes de la Torah et de la Bible. Mais aucun texte coranique ne traite de la malédiction de Cham, pas plus que d’une justification de l’esclavage des noirs fondée sur celle-ci.

Lors de la conquête arabe de l’Egypte nègre, un chef arabe prononça ces paroles : « Ecartez cet homme noir et trouvez quelqu’un d’autre pour me parler… Comment pouvez-vous admettre qu’un Noir soit le plus éminent d’entre vous ? Il conviendrait qu’il vous fût inférieur ».
Ibn Khaldun (1332 à 1406) grand penseur arabe disait ceci : « Les seuls hommes qui acceptent l’esclavage sont les nègres, et ce du fait de leur faible degré d’humanité et de leur proximité de l’état animal ».

Comme nous pouvons le constater, pour les arabes le Noir était, et est toujours un sous homme, et c’est cette vision des choses héritées du judaïsme qu’ils passeront aux européens lors de la conquête arabe au 8e siècle.
Ainsi le grand Voltaire (1694 à 1778) pensait ceci : « L’intervalle qui sépare le singe du nègre est difficile à saisir ».
Julien-Joseph Virey (1775 à 1846) pensait la même chose en disant : « Leur vie, toute animale, les dispose aux voluptés sensuelles comme la gloutonnerie, l’ivrognerie, le sommeil, l’amour… Ils grimpent, sautent sur la corde, voltigent avec une facilité merveilleuse et qui, est égalée que par les singes, leurs compatriotes, et peut-être leurs anciens frères selon l’ordre de la nature ». La liste de toute cette propagande littéraire anti-Noir serait trop longue à énumérer nous vous conseillons le magazine suivant (Regards Africains n° 47/48, été-automne 2002).

Nous sommes biens loin des Noirs sans reproche que connaissait le monde avant la rédaction de la Bible juive ! Depuis la rédaction de la Bible juive qui est un manifeste anti-Noir, nous sommes passé du statut d’homme à celui de singe, et lorsque les scientifiques affirment que toute l’Humanité descend du singe, l’homme de la rue entend : « Les Noirs descendent du singe ». Pour cet homme ignare un Noir n’est rien d’autre qu’un singe costumé !

Mais pourquoi toute cette haine des juifs à l’encontre du peuple Noir ?
La réponse est simple, les Noirs de l’époque pharaonique sont à l’origine de la religion juive, en la personne d’Akhenaton.
Pendant des siècles les juifs ont sciemment dissimulé l’origine négro-africaine de leur spiritualité(alchimie, étoile de David, 10 commandements, spiritualité etc….) et pour ce faire, il fallait jeter l’anathème sur la race Noire ; le voilà le véritable secret des juifs tel qu’il transparaît dans leurs propres écrits (Les secrets de l’exode de Messod et Roger Sabbah, et Le secret des juifs, de Roger Sabbah). Nous affirmons avec force que la Torah des juifs n’est pas l’œuvre de Moïse « Donnez-nous rien qu’un fragment de manuscrit hébreu d’époque attribuable à Moïse ! ». Source : pierre-nillon.com

Qui étaient les négriers qui amènent les esclaves noirs en Amérique du 15ème au 19ème siècle ?

L’information se trouve documentée dans les 4 volumes de Elizabeth Donnan. Ils peuvent être trouvés à la Librairie Nationale de Washington et à la Librairie de l’Institut Technologique de Carnegie à Pittsburg .

Nom des navires négriers et Propriétaires Juifs.

Abigail : – Aaron Lopez, Moses Levy et Jacob Franks

Crown : – Isaac Levy and Natham Simpson

Nassau : – Moses Levy

Four Sisters : – Moses Levy

Anne and Eliza – Justus Bosch et John Adams

Prudent Betty: – Henry Cruger et Jacob Phoenix

Hester :- Mordecai et Davdi Gomez

Elizabeth: – Mordecai et Davdi Gomez

Antigua :- Natham Marston et Abram Lyell

Betsy :- William De Woolf

Polly :- James De Woolf

White Horse :- Jan de Sweevts

Expedition :- John et Jacob Roosevelt

Charlotte :- Moses et Sam Levy ; Jacob Franks

Caracoa :- Moses et Sam Levy

Les marchands d’esclaves et l’Holocauste « négrier »

1- Les oubliés de l’histoire

Les négociants d’esclaves juifs fournissent des Noirs par dizaines de milliers vers les plantations d’Amérique du sud et des Caraïbes. On ne retrouve plus aujourd’hui de trace écrite de protestation contre ce comportement. C’est alors une affaire purement commerciale dans laquelle la religion n’intervient nullement.

Daniel M. Swetschinski estime que la part des négociants juifs dans les affaires internationales est alors disproportionnée. Ils représentent 75% des affaires mercantiles alors qu’ils ne constituent que 10% de la population. Cette domination du marché des esclaves les met en position d’équilibre avec les autres communautés. Les planteurs de sucre au Brésil utilisent abondamment cette main d’œuvre d’esclaves d’Indiens et de Noirs, fournie par les négociants juifs. Dans les années 1600, les plantations qui constituent la majeure partie du réservoir d’esclaves avec quasiment 10.000 Africains et l’exportation du sucre raffiné est dans les mains des négociants juifs.

Les Juifs figurent parmi les tout premiers colons de la Martinique. Les Juifs restés à la Martinique s’épanouirent sur le plan économique. On pouvait mesurer leur richesse au nombre d’esclaves en leur possession : cent exactement.

La compagnie hollandaise d’Inde de l’ouest est créée en 1621 dans le seul but de gagner de l’argent. Les Juifs investissent massivement dans l’entreprise qui se destine à toute forme de commerce, y compris l’esclavagisme. Les dirigeants hollandais, en faisant la promotion du développement économique, encouragent ainsi les Juifs à émigrer [très astucieux…] et la Hollande devient très rapidement le centre du pouvoir et de la fortune juive.

Marcus Arkin écrit  » depuis le développement des industries dans lesquels les Juifs investissent : tailleurs de diamants, sucre, soie, textiles, le mélange du tabac, denrées alimentaires,…) sont dépendantes des colonies, il n’est nullement surprenant que de retrouver les Juifs d’Amsterdam concernés par le commerce vers l’Asie et le nouveau monde. » africamaat.com

Patrick Mballa

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