LES DOSSIERS NOIRS DU SAMEDI DU 27/01/2024

Par agrel 27 janvier 2024 98 Aucun commentaire

L’ARME « ATOMIQUE » DE L’ABSENCE DE PREUVE INVOQUÉE POUR PROTÉGER LES CRIMINELS SEXUELS EST UNE GROSSE ARNAQUE

1- Chantal Biya et Ferdinand Ngoh placés sur écoutes par…

2- Série non stop: Révélations explosives du réseau satanique BOPDA

3- Le général Oligui Nguema crée une loi autorisant aux femmes en tenue d’avoir plusieurs époux

4- Des produits chimiques utilisés pour l’assassinat de Martinez Zogo

5- Le nom de Samuel Eto’o dans les conclusions de l’expertise du téléphone de BIDJANG À GAUCHE BIDJANG À DROITE

6- Audition de Martin Savom et la mission d’ Alain Ekassi à Kondengui

7- Un oncle et une soeur policière de Martinez impliqués dans la ligne 94

8- Jour J pour le choc Cameroun vs Nigéria

» La nourriture de l’oiseau, ce sont les graines ; la nourriture du lion c’est la chair «

L’ARME « ATOMIQUE » DE L’ABSENCE DE PREUVE INVOQUÉE POUR PROTÉGER LES CRIMINELS SEXUELS EST UNE GROSSE ARNAQUE

S’il y a une infraction pour laquelle le chemin de la justice reste difficile à emprunter par les victimes, c’est le viol.

Ceci parce la victime, qui est très souvent une femme, le vit comme une défaite, une humiliation… Elle en vient même à éprouver un sentiment de honte, de culpabilité, qui la réduisent au silence, à la solitude dans la douleur…

Son recours à la justice est souvent handicapé par une présomption de consentement, que la société construit autour du crime, en essayant de culpabiliser tous ses comportements qui auraient facilité le contact avec le violeur : « comment as tu fait pour te retrouver là… » ?

La résultante de tout ceci, c’est que la victime s’abstient à s’adresser à la justice, convaincue qu’elle ne saura jamais apporter la preuve du viol…

Il faut dire aux victimes, qui hésitent à porter plainte, qu’elles peuvent demander et obtenir un procès à huis clos, avec l’aide de leur avocat. Personne ne sera donc au courant de leur histoire.

Les défenseurs, complices et comparses du désormais plus puissant délinquant sexuel de l’histoire de l’Afrique, Hervé BOBDA, surfent sur l’ancienneté de certains faits, sur la disparition éventuelle des traces, bref sur une absence de preuves présumées, pour semer dans les esprits, le doute, avant d’en déduire l’impossible inculpation du criminel, faute de preuves tangibles.

Il faut dire à ce sujet, que si certains procès de viol sont facilités par des situations de flagrance, l’essentiel des condamnations procède des investigations policières et judiciaires. La liberté des preuves donne au système judiciaire, un champ d’investigation insoupçonné…

Dans le cas d’espèce, pour des infractions répétées sur des centaines de victimes, avec des complices, commis dans la rue ou des lieux publics, parfois dans des résidences de location où sont enregistrés des visiteurs… les éléments d’investigations foisonnent…

Pour finir, il faut relever qu’en matière criminelle, généralement, le juge ou les jurés sont confrontés aux dénégations des accusés. La condamnation ou la relaxe, procède de l’intime conviction de la cour et non simplement des faits invoqués ou déclarations faites. Des fois, la décision ne tient qu’à l’attitude des parties devant la barre.

ARRÊTEZ DONC DE DIRE QU’IL N’Y A PAS DE PREUVES, CE N’EST PAS VOTRE JOB.

Amedee Dimitri Touko Tom

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